⭐️⭐️⭐️1/2 Ma critique de THE BEAST WITHIN qui a eu sa première mondiale au Festival Fantasia.
Willow, 10 ans, vit recluse dans une maison isolée en Angleterre avec sa mère Imogen et son grand-père Waylon. Son père Noah, énigmatique et souvent absent, cache un lourd secret que Willow va découvrir un soir. Mais ce secret est-ce le fruit de son imagination ou quelque chose d’encore plus sinistre?
Ce film d'horreur se distingue par son utilisation minimale d'effets spéciaux numériques, privilégiant le maquillage et les costumes pour créer une atmosphère effrayante. La créature, dissimulée jusqu'à la fin, renforce le mystère et le suspense.
La mise en scène d'Alexander J. Farrell met l'accent sur l'isolement des personnages, soulignant le poids du secret de Noah. Il joue sur les cauchemars de Willow pour brouiller les pistes entre réalité et imagination.
Caoilinn Springall dans le rôle de Willow porte le film sur ses épaules, car on est témoin des événements de son point de vue. Elle est assez versatile et joue parfaitement son rôle. Kit Harington n’a pas une grande place dans le récit, car son personnage n’est souvent pas présent. Mais on peut constater qu’il campe bien son personnage où Noah avoue à sa fille qu’il a une bête en-dedans. Ashleigh Cummings dans le rôle de Imogen qui est un personnage qui veut à tout prix garder le secret. Elle a peur de son mari, mais ne l’avouera jamais. James Cosmo campe Waylon, un homme qui veut protéger sa fille et sa grande-fille.
THE BEAST WITHIN promet une expérience horrifique immersive et intrigante, avec une atmosphère unique et des acteurs talentueux. Ne manquez pas sa sortie en salles le 26 juillet en Amérique du Nord.
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