⭐️⭐️1/2 Ma critique du film de science-fiction d’horreur CUCKOO mettant en vedette Hunter Schafer.
Gretchen, 17 ans, quitte à contrecœur sa maison américaine pour aller vivre avec son père, qui vient d'emménager dans une station des Alpes allemandes avec sa nouvelle famille. En arrivant dans leur future résidence, ils sont accueillis par M. König, le patron de son père, qui s'intéresse de façon inexplicable à Alma, la demi-sœur muette de Gretchen. Très vite, Gretchen est tourmentée par des bruits et des visions étranges...
Côté horreur et science-fiction, la première moitié du film est assez intéressante. On a une dame creepy qui est à la poursuite de Gretchen sans que l’on sache pourquoi. Certaines femmes vomissent et agissent bizarrement. Gretchen semble parfois être prise dans une boucle temporelle de quelques secondes sans explication. Elle trouve qu’elle n’a pas sa place dans la famille de son père et désire retourner à la maison de sa mère aux États-Unis. Ses appels à sa mère sont ignorés. On peut donc ressentir une certaine claustrophobie des lieux malgré les paysages majestueux des Alpes.
C’est lorsqu’on tente d’expliquer ce qui se passe que le film m’a complètement perdue. Les motivations du vilain ne font pas de sens. Le long-métrage devient alors incohérent, on ne comprend rien.
Malgré tout, Hunter Schafer, découverte dans Euphoria, porte le film sur ses épaules. Son personnage est émotif et a plusieurs différentes émotions que Hunter exprime de manière authentique. Bien que le film devient incohérent, on est de tout cœur avec son personnage et souhaite qu’elle s’en sorte.
CUCKOO prend l’affiche le 9 août en Amérique du Nord.