⭐️⭐️1/2 Ma critique de la comédie d’horreur Y2K qui arrive en salles le 6 décembre.
C’est le réveillon du Nouvel An à la fin de l’année 1999 et Eli [Jaeden Martell] et Danny [Julian Dennison] se cherchent quelque chose à faire. Après avoir visité le club vidéo de leur ami Garrett [Kyle Mooney, Le réalisateur], ils décident de se rendre au party sans invitation où Laura [Rachel Zegler], la fille qu’Eli convoite sera présente. Sur le coup de minuit, tous les électroniques cessent de fonctionner comme il faut et s’en prennent aux humains! Le bogue de l’an 2000 a lieu! Formant un groupe hétéroclite de survivants, Eli, Danny et Laura font équipe avec des jeunes [Lachlan Watson, Eduardo Franco et The Kid Laroi] et un collectif mené par Garrett et tous devront stopper l’apocalypse.
La première moitié du film est amusante, c’est lors de la seconde partie que tout dégénère. On est introduit aux personnages qui ont tous des qualités conformes aux adolescents de cette époque. Eli et Danny ont une belle complicité et Laura est charmante. Garrett, joué par le réalisateur est un personnage bizarre et comique. On a un sentiment de nostalgie en voyant AIM, les vieux graphiques des vieux ordinateurs, la mode et les coiffures avec pinces papillon et en entendant la musique de l’époque. Lors du party, on s’attarde sur tous les groupes clichés de films d’ados et musique qui les identifient. Quand le bogue de l’an 2000 a lieu et que plusieurs ados trouvent la mort de façon bien imaginées, on s’amuse. C’est après que tout semble moins intéressant, voire ennuyant. Dommage! Même avec la présence de Fred Durst dans un rôle caméo ne semble pas faire effet. On reste de marbre durant le reste du film.
Y2K arrive en salles nord-américaines le 6 décembre.