John Clayton (Alexander Skarsgård) autrefois connu sous le nom de Tarzan vit paisiblement à Londres avec sa femme Jane (Margot Robbie). Un jour, il est invité à se rendre au Congo. Il s’y rend en compagnie de sa femme sans se douter que c’est un piège. Le capitaine Leon Rom (Christoph Waltz) désire le capturer pour le livrer à un ennemi en échange de diamants.
Après avoir été aux commandes des quatre derniers films de la franchise Harry Potter, le réalisateur David Yates nous offre sa nouvelle vision d’une légende inspirée des écrits d’Edgar Rice Burroughs qui a été reprise mainte fois au cinéma, THE LEGEND OF TARZAN.
L’histoire se passe en 1890. Il y a une dizaine d’années, John/Tarzan a quitté la jungle africaine pour s’établir à Londres en compagnie de son épouse. Il est maintenant connu sous le nom de John Clayton troisième du nom, le comte de Greystoke. Le premier ministre le somme de répondre à la demande du roi Léopold II de Belgique l’invitant au Congo pour qu’il puisse constater les projets de colonisation d’envergure qui ont été réalisés dans la région. Refusant d’abord sous prétexte qu’il supporte mal la chaleur, John change d’avis après avoir eu une discussion avec George Washington Williams (Samuel L. Jackson), un envoyé diplomatique des États-Unis qui veut s’assurer que l’esclavage n’existe pas au Congo. Le duo en compagnie de Jane arrivent au Congo et se rendent compte assez vite que tout n’était qu’un leurre. L’émissaire du roi, Leon Rom capture Jane et Tarzan dans l’espoir d’échanger Tarzan contre des diamants d’Opar ce qui sauvera son roi de la faillite. Après que George l’aide à s’enfuir, Tarzan devra parcourir la jungle pour pouvoir retrouver celle qu’il aime.
La trame narrative principale est un peu trop simple pour un blockbuster de ce genre. Comme LEGEND OF TARZAN semble être une suite de l’histoire qu’on connait, le scénario est ponctué de plusieurs flashbacks racontant par exemple l’enfance de Tarzan ou la rencontre entre lui et Jane.
Scénario l’oblige, les acteurs Alexander Skarsgård et Margot Robbie ne possèdent pas énormément de scènes entre eux. Les comédiens ont tout de même une chimie indéniable et leur relation d’amour est palpable. Alexander Skarsgård a sans aucun doute le physique pour jouer torse nu une bonne partie du film et Margot Robbie est belle à croquer. Jane, une Américaine dont le père a enseigné l’anglais au peuple africain il y a plusieurs années est accueillie en héro lorsqu’elle remet les pieds au Congo. Elle est capable de parler un dialecte africain et connait leurs coutumes. Après sa capture, elle démontre une force mentale et n’agit pas du tout comme une demoiselle en détresse. Tarzan est un homme de peu de mots donc l’acteur n’a pas eu réellement besoin de donner une bonne performance. Ses prouesses physiques comblent son manque de dialogues. Samuel L. Jackson incarne un personnage inspiré d’un soldat de la guerre civile américaine ayant réellement vécu. Il est manifestement le comic relief du film. Par contre, ses dialogues sont parfois un peu trop modernes (un exemple est dans la séquence où il est agenouillé devant un gorille, je ne crois pas que les gens s’exprimaient de cette façon au 19e siècle). Christoph Waltz qui a l’habitude de camper un vilain (Leon Rom est également une personne qui a réellement existé) livre une excellente performance.
J’ai vu le film au format IMAX 3D. Ce n’est pas le format que je recommande, car les effets spéciaux n’étaient pas assez spectaculaires pour justifier le prix du billet. Ceux utilisés pour rendre vivants les animaux ne semblaient pas à point et sont définitivement de moindres qualités que ceux dans THE JUNGLE BOOK (lire ma critique) ou même DAWN OF THE PLANET OF THE APES (lire ma critique). Dans certaines séquences d’action, il est évident que le CGI a été utilisé. Toutes les fois que Tarzan se balance sur une liane en sont des exemples.
Malgré quelques défauts, THE LEGEND OF TARZAN demeure un excellent film d’aventure/action. À voir au cinéma dans le format régulier (éviter le 3D ou IMAX 3D).
L’histoire se passe en 1890. Il y a une dizaine d’années, John/Tarzan a quitté la jungle africaine pour s’établir à Londres en compagnie de son épouse. Il est maintenant connu sous le nom de John Clayton troisième du nom, le comte de Greystoke. Le premier ministre le somme de répondre à la demande du roi Léopold II de Belgique l’invitant au Congo pour qu’il puisse constater les projets de colonisation d’envergure qui ont été réalisés dans la région. Refusant d’abord sous prétexte qu’il supporte mal la chaleur, John change d’avis après avoir eu une discussion avec George Washington Williams (Samuel L. Jackson), un envoyé diplomatique des États-Unis qui veut s’assurer que l’esclavage n’existe pas au Congo. Le duo en compagnie de Jane arrivent au Congo et se rendent compte assez vite que tout n’était qu’un leurre. L’émissaire du roi, Leon Rom capture Jane et Tarzan dans l’espoir d’échanger Tarzan contre des diamants d’Opar ce qui sauvera son roi de la faillite. Après que George l’aide à s’enfuir, Tarzan devra parcourir la jungle pour pouvoir retrouver celle qu’il aime.
La trame narrative principale est un peu trop simple pour un blockbuster de ce genre. Comme LEGEND OF TARZAN semble être une suite de l’histoire qu’on connait, le scénario est ponctué de plusieurs flashbacks racontant par exemple l’enfance de Tarzan ou la rencontre entre lui et Jane.
Scénario l’oblige, les acteurs Alexander Skarsgård et Margot Robbie ne possèdent pas énormément de scènes entre eux. Les comédiens ont tout de même une chimie indéniable et leur relation d’amour est palpable. Alexander Skarsgård a sans aucun doute le physique pour jouer torse nu une bonne partie du film et Margot Robbie est belle à croquer. Jane, une Américaine dont le père a enseigné l’anglais au peuple africain il y a plusieurs années est accueillie en héro lorsqu’elle remet les pieds au Congo. Elle est capable de parler un dialecte africain et connait leurs coutumes. Après sa capture, elle démontre une force mentale et n’agit pas du tout comme une demoiselle en détresse. Tarzan est un homme de peu de mots donc l’acteur n’a pas eu réellement besoin de donner une bonne performance. Ses prouesses physiques comblent son manque de dialogues. Samuel L. Jackson incarne un personnage inspiré d’un soldat de la guerre civile américaine ayant réellement vécu. Il est manifestement le comic relief du film. Par contre, ses dialogues sont parfois un peu trop modernes (un exemple est dans la séquence où il est agenouillé devant un gorille, je ne crois pas que les gens s’exprimaient de cette façon au 19e siècle). Christoph Waltz qui a l’habitude de camper un vilain (Leon Rom est également une personne qui a réellement existé) livre une excellente performance.
J’ai vu le film au format IMAX 3D. Ce n’est pas le format que je recommande, car les effets spéciaux n’étaient pas assez spectaculaires pour justifier le prix du billet. Ceux utilisés pour rendre vivants les animaux ne semblaient pas à point et sont définitivement de moindres qualités que ceux dans THE JUNGLE BOOK (lire ma critique) ou même DAWN OF THE PLANET OF THE APES (lire ma critique). Dans certaines séquences d’action, il est évident que le CGI a été utilisé. Toutes les fois que Tarzan se balance sur une liane en sont des exemples.
Malgré quelques défauts, THE LEGEND OF TARZAN demeure un excellent film d’aventure/action. À voir au cinéma dans le format régulier (éviter le 3D ou IMAX 3D).