Dans la PURGE: ANNÉE ÉLECTORALE, cela fait maintenant 2 ans que Leo Barnes (Frank Grillo) a abandonné tout désir de vengeance durant la nuit de la Purge. Il est maintenant à la tête du service de sécurité de la Sénatrice Charlie Roan (Elizabeth Mitchell) et a pour mission de la protéger durant sa course à la présidence et de survivre à la nuit rituelle où sont visés les pauvres et les innocents. Lorsque trahis, ils se retrouvent dans les rues de D.C. sans espoir d’aide ou de secours, ils doivent tenter de survivre jusqu’à l’aube… ou d’être tous les deux sacrifiés pour leurs péchés contre l’État. [Universal Pictures Canada]
Sorti il y a 3 ans, THE PURGE (lire ma critique – elle remonte presque au tout début de mon blogue!) avait attiré les foules au cinéma. En ce qui me concerne, j’étais amèrement déçue de ce film, car l’histoire n’était rien d’autre qu’une invasion à domicile. Doté d’un meilleur budget, le second volet, THE PURGE : ANARCHY (lire ma critique) qui a pris l’affiche en 2014 était beaucoup mieux, car on pouvait voir se qui se passait dans divers endroits dans la ville de Los Angeles durant la Purge. Les habiletés physiques du personnage de Leo Barnes (Frank Grillo) rendaient le tout plus divertissant. Ce thriller d’action correspondait mieux à mes goûts personnels. Basé sur l’élection présidentielle qui aura lieu cette année, THE PURGE : ELECTION YEAR est similaire ou peut-être même mieux que son prédécesseur. Le retour de Leo Barnes en est pour quelque chose. (Donc si vous avez aimé le 2e volet, vous aimerez celui-ci également et vice-versa).
Deux années se sont écoulées depuis les événements du dernier film. Les États-Unis sont toujours gouvernés par le NFFA (New Founding Fathers of America) qui s’assure que la Purge a lieu annuellement. Selon eux, la Purge représente une bonne pour l’économie (ça attire entre autres des touristes étrangers qui veulent participer.) En cette période électorale, la nation est divisée entre les pro-purge et les anti-purge. Cette année, les choses sont un peu différentes : aucun membre des différents paliers du gouvernement n’est immunisé. La principale voix de l’opposition (qui dans la toute première séquence du film a été témoin de l’assassinat de tous les membres de sa famille il y a 18 ans), la sénatrice Charlize « Charlie » Roan (Elizabeth Mitchell) sera certainement visée par le NFFA, car elle a réalisé que la Purge n’est rien d’autre qu’un complot pour se débarrasser de la population plus pauvre. Heureusement, elle pourra compter sur le chef de sa garde rapprochée, Leo Barnes.
Par ailleurs, durant la Purge on suit également Joe Dixon (Mykelti Williamson), le propriétaire d’un dîner qui va devoir protéger son commerce contre des jeunes filles qui veulent le voler ainsi que Laney Rucker (Betty Gabriel) qui à bord de son véhicule blindé, aide tous ceux qui sont dans le besoin. Dante Bishop (Edwin Hodge), le seul personnage à être présent dans les trois opus de la trilogie, possède un sombre dessein durant cette nuit.
L’acteur Frank Grillo revisite le personnage de Leo Barnes. Agent de police dans l’opus précédent, il a été engagé pour protéger la sénatrice. Le dur-à-cuire a le physique de l’emploi. Même s’il prend une balle dans l’épaule au début de la soirée, il désire protéger la sénatrice avant tout, quitte à tuer tous ceux qui s’en prennent à elle sans la moindre hésitation. Elizabeth Mitchell ne semble pas être la meilleure actrice pour tenir le rôle de la sénatrice. Je n’ai rien contre son jeu, mais elle n’a pas le charisme nécessaire pour interpréter un personnage qui a une très bonne chance de devenir la présidente des États-Unis. Mykelti Williamson est le comic relief du film. Ses répliques racistes sont hilarantes. Betty Gabriel a peu à faire dans le film, le côté badass de son personnage aurait dû être utilisé davantage. Je ne connais pas le nom de l’actrice et ne vais pas prendre la peine de chercher, mais l’actrice qui interprète la jeune adolescente qui voulait voler des friandises à Joe Dixon est absolument horrible. Si bien que le décès du personnage a causé des acclamations parmi le public.
Les scènes d’action et de violence sont beaucoup plus élaborées que dans l’opus précédent. Celles-ci sont divertissantes, mais la caméra a parfois tendance à être trop près des personnages pour bien suivre ce qui se passe.
En somme, THE PURGE : ELECTION YEAR est divertissant. Le film semble marquer la fin de la franchise. Dépendamment des recettes au box-office une autre suite pourrait être produite.
Deux années se sont écoulées depuis les événements du dernier film. Les États-Unis sont toujours gouvernés par le NFFA (New Founding Fathers of America) qui s’assure que la Purge a lieu annuellement. Selon eux, la Purge représente une bonne pour l’économie (ça attire entre autres des touristes étrangers qui veulent participer.) En cette période électorale, la nation est divisée entre les pro-purge et les anti-purge. Cette année, les choses sont un peu différentes : aucun membre des différents paliers du gouvernement n’est immunisé. La principale voix de l’opposition (qui dans la toute première séquence du film a été témoin de l’assassinat de tous les membres de sa famille il y a 18 ans), la sénatrice Charlize « Charlie » Roan (Elizabeth Mitchell) sera certainement visée par le NFFA, car elle a réalisé que la Purge n’est rien d’autre qu’un complot pour se débarrasser de la population plus pauvre. Heureusement, elle pourra compter sur le chef de sa garde rapprochée, Leo Barnes.
Par ailleurs, durant la Purge on suit également Joe Dixon (Mykelti Williamson), le propriétaire d’un dîner qui va devoir protéger son commerce contre des jeunes filles qui veulent le voler ainsi que Laney Rucker (Betty Gabriel) qui à bord de son véhicule blindé, aide tous ceux qui sont dans le besoin. Dante Bishop (Edwin Hodge), le seul personnage à être présent dans les trois opus de la trilogie, possède un sombre dessein durant cette nuit.
L’acteur Frank Grillo revisite le personnage de Leo Barnes. Agent de police dans l’opus précédent, il a été engagé pour protéger la sénatrice. Le dur-à-cuire a le physique de l’emploi. Même s’il prend une balle dans l’épaule au début de la soirée, il désire protéger la sénatrice avant tout, quitte à tuer tous ceux qui s’en prennent à elle sans la moindre hésitation. Elizabeth Mitchell ne semble pas être la meilleure actrice pour tenir le rôle de la sénatrice. Je n’ai rien contre son jeu, mais elle n’a pas le charisme nécessaire pour interpréter un personnage qui a une très bonne chance de devenir la présidente des États-Unis. Mykelti Williamson est le comic relief du film. Ses répliques racistes sont hilarantes. Betty Gabriel a peu à faire dans le film, le côté badass de son personnage aurait dû être utilisé davantage. Je ne connais pas le nom de l’actrice et ne vais pas prendre la peine de chercher, mais l’actrice qui interprète la jeune adolescente qui voulait voler des friandises à Joe Dixon est absolument horrible. Si bien que le décès du personnage a causé des acclamations parmi le public.
Les scènes d’action et de violence sont beaucoup plus élaborées que dans l’opus précédent. Celles-ci sont divertissantes, mais la caméra a parfois tendance à être trop près des personnages pour bien suivre ce qui se passe.
En somme, THE PURGE : ELECTION YEAR est divertissant. Le film semble marquer la fin de la franchise. Dépendamment des recettes au box-office une autre suite pourrait être produite.
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