⭐️⭐️ Ma critique de GRAND TOUR qui a valu à son réalisateur le prix du meilleur réalisateur au dernier festival de Cannes.
Rangoon, Birmanie, 1918. Edward, fonctionnaire de l’Empire britannique, s’enfuit le jour où il devait épouser sa fiancée, Molly. Déterminée à se marier, Molly part à la recherche d’Edward et suit les traces de son Grand Tour à travers l’Asie.
GRAND TOUR est possiblement le pire film que j’ai eu l’occasion de voir en 2025. Il ne semble pas s’y passer grand chose. Edward passe par plusieurs pays d’Asie et y rencontre divers personnages, mais il n’y a aucune intrigue. Molly fait la même chose de son côté et il n’y a rien qui garde l’attention du spectateur. Les scènes avec ces personnages sont entrecoupées de séquences où l’on voit la vie de tous les jours de diverses personnes et cultures du sud et sud-est asiatiques. Certaines de ces séquences documentaires sont modernes alors que l’intrigue principale se passe en 1918. Je ne vois donc pas le but de ces scènes. On a donc affaire à une œuvre qui n’a aucune substance.
GRAND TOUR prend l’affiche le 28 mars en Amérique du Nord.