À la suite d'une tragédie familiale, une romancière en herbe est déchirée entre l'amour qu'elle porte à son ami d'enfance et son attirance pour un mystérieux inconnu. Alors qu'elle tente d'échapper aux fantômes de son passé, elle s'aventure dans un sombre manoir étrangement humain, qui respire, saigne et se souvient.
L'histoire se passe au début des années 1900. Edith Cushing (Mia Wasikowska) est une aspirante écrivaine de littérature gothique. Elle habite avec son père Sir Carter, un magnat de l'industrie américaine à Buffalo. Elle a deux prétendants: Alan McMichael (Charlie Hunnam), un ami d'enfance collectionneur de photos d'esprits qui est récemment revenu de ses études à l'étranger et Sir Thomas Sharpe (Tom Hiddleston) , un anglais venu chercher du financement pour son invention, une machine qui extrait l'argile du sol. Malgré la désapprobation de son père, Edith fréquente et tombe amoureuse de Thomas. Edith est également hantée par le fantôme de sa mère, décédée il y plusieurs années. Un soir, le fantôme lui rend visite et l'avertit d'éviter de se rendre à Crimson Peak. Suite à la mort de son père dans des circonstances mystérieuses, Edith marie et emménage en Grande-Bretagne à Allerdale Hall, la maison de Thomas et de sa sœur Lucille. Edith devient témoin d'apparitions étranges et essayera de résoudre le mystère.
Tout d'abord, contrairement à ce que la bande-annonce laisse supposer, CRIMSON PEAK n'est pas vraiment un film d'horreur. Le personnage d'Edith mentionne dès le début du film que l'histoire qu'elle a rédigé n'en est pas une d'horreur, mais mettant en scène des fantômes. Les fantômes sont une métaphore du passé. C'est exactement ce qu'est CRIMSON PEAK.
Au centre du scénario se trouve l'histoire d'amour entre Thomas et Edith. Pour tout vous dire j'avais l'impression de regarder Jane Eyre ou The Great Expectations, ce qui ne correspond pas du tout à mes goûts personnels. Pour cette raison, j'ai trouvé la première moitié du film ennuyante. Par contre, la chimie entre les deux personnages est évidente. Tous les acteurs jouent bien leur rôle. Jessica Chastain nous démontre sa versatilité en tant qu'actrice en jouant pour la première fois une antagoniste. Dès sa première scène où elle regarde Edith avec jalousie, le spectateur la suspecte de quelque chose. Le scénario est malheureusement prévisible.
Le film se démarque par l'esthétique exceptionnel. Les costumes de l'époque victorienne et décors sont somptueux, principalement dans l'Allerdale Hall. L'effort a également été mis sur les couleurs. Par exemple, l'argile rouge contraste bien avec la neige.
Je ne recommande CRIMSON PEAK qu'aux fans que Guillermo del Toro.
Tout d'abord, contrairement à ce que la bande-annonce laisse supposer, CRIMSON PEAK n'est pas vraiment un film d'horreur. Le personnage d'Edith mentionne dès le début du film que l'histoire qu'elle a rédigé n'en est pas une d'horreur, mais mettant en scène des fantômes. Les fantômes sont une métaphore du passé. C'est exactement ce qu'est CRIMSON PEAK.
Au centre du scénario se trouve l'histoire d'amour entre Thomas et Edith. Pour tout vous dire j'avais l'impression de regarder Jane Eyre ou The Great Expectations, ce qui ne correspond pas du tout à mes goûts personnels. Pour cette raison, j'ai trouvé la première moitié du film ennuyante. Par contre, la chimie entre les deux personnages est évidente. Tous les acteurs jouent bien leur rôle. Jessica Chastain nous démontre sa versatilité en tant qu'actrice en jouant pour la première fois une antagoniste. Dès sa première scène où elle regarde Edith avec jalousie, le spectateur la suspecte de quelque chose. Le scénario est malheureusement prévisible.
Le film se démarque par l'esthétique exceptionnel. Les costumes de l'époque victorienne et décors sont somptueux, principalement dans l'Allerdale Hall. L'effort a également été mis sur les couleurs. Par exemple, l'argile rouge contraste bien avec la neige.
Je ne recommande CRIMSON PEAK qu'aux fans que Guillermo del Toro.
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