⭐⭐ Le réalisateur Ari Sandel nous présente GOOSEBUMPS 2: HAUNTED HALLOWEEN - Chair de Poule 2: Les fantômes d’Halloween - Chair de Poule 2 : L’Halloween Hantée, seconde adaptation cinématographique de la franchise de romans Chair de Poule créée par R.L. Stine.
Élèves dans une école secondaire dans la petite ville de Wardenclyffe dans l’état de New York, Sonny Quinn [Jeremy Ray Taylor] et son meilleur ami Sam Carter [Caleel Harris] forment un duo nommé les Junk Bros. Ils se font quelques sous en vendant divers objets trouvés. La veille de l’Halloween, ils reçoivent un appel leur demandant de vider une maison abandonnée. Ils y découvrent alors un manuscrit écrit par le célèbre romancier R.L. Stine [Jack Black]. Quand ils l’ouvrent, ils libèrent sans le vouloir Slappy, un pantin diabolique. Ce dernier souhaite en premier lieu faire partie de la famille de Sonny, mais doit faire face à un rejet. Grâce à une formule magique, il donne vie à une armada de décorations d’Halloween. Pour sauver leur ville du chaos des monstres et de Slappy, Sonny et Sam font équipe avec Sarah [Madison Iseman] et Mr. Chu [Ken Jeong].
Dès la première scène de GOOSEBUMPS 2: HAUNTED HALLOWEEN, le spectateur aura l’impression de regarder un téléfilm ou une version longue d’un épisode de la télésérie Chair de Poule. Cette impression se dissipera que très peu à mesure que le film avance. L’intrigue qui offre plusieurs similitudes avec celle du premier film s’avère peu excitante sauf pour la scène des Gummy bears. Les monstres ne sont ni monstrueux ni menaçants, il n’y a pas réellement de sentiment de danger. Les jeunes enfants peuvent visionner le film sans soucis, il n’y a aucune séquence qui peut les effrayer. Au moins, les effets spéciaux utilisés pour les créatures sont impressionnants. On peut également dire qu’un certain effort a été mis dans la conception des monstres. L’immense araignée construite avec des ballons ou la citrouille-soldat sont bien pensées.
Outre Madison Iseman qui donne une performance médiocre (ou est-ce dû au fait que les “drames” dans la vie du personnage ne m’ont pas du tout interpelée), les acteurs tiennent bien leur rôle. Jack Black dans le rôle de R. L. Stine n’est présent que pour une dizaine de minutes. C’est dommage, car son personnage est le plus intéressant du lot. (Gardez l’œil ouvert pour un caméo du véritable R.L. Stine.) Le dénouement laisse sous-entendre une suite qui devrait, espérons-le, être supérieure à son prédécesseur.
Bof. La sortie de GOOSEBUMPS 2: HAUNTED HALLOWEEN survient à peine quelques semaines après celle de THE HOUSE WITH A CLOCK IN ITS WALLS ( ma critique ici) qui est un bien meilleur long métrage.
Dès la première scène de GOOSEBUMPS 2: HAUNTED HALLOWEEN, le spectateur aura l’impression de regarder un téléfilm ou une version longue d’un épisode de la télésérie Chair de Poule. Cette impression se dissipera que très peu à mesure que le film avance. L’intrigue qui offre plusieurs similitudes avec celle du premier film s’avère peu excitante sauf pour la scène des Gummy bears. Les monstres ne sont ni monstrueux ni menaçants, il n’y a pas réellement de sentiment de danger. Les jeunes enfants peuvent visionner le film sans soucis, il n’y a aucune séquence qui peut les effrayer. Au moins, les effets spéciaux utilisés pour les créatures sont impressionnants. On peut également dire qu’un certain effort a été mis dans la conception des monstres. L’immense araignée construite avec des ballons ou la citrouille-soldat sont bien pensées.
Outre Madison Iseman qui donne une performance médiocre (ou est-ce dû au fait que les “drames” dans la vie du personnage ne m’ont pas du tout interpelée), les acteurs tiennent bien leur rôle. Jack Black dans le rôle de R. L. Stine n’est présent que pour une dizaine de minutes. C’est dommage, car son personnage est le plus intéressant du lot. (Gardez l’œil ouvert pour un caméo du véritable R.L. Stine.) Le dénouement laisse sous-entendre une suite qui devrait, espérons-le, être supérieure à son prédécesseur.
Bof. La sortie de GOOSEBUMPS 2: HAUNTED HALLOWEEN survient à peine quelques semaines après celle de THE HOUSE WITH A CLOCK IN ITS WALLS ( ma critique ici) qui est un bien meilleur long métrage.