🌟🌟🌟 Faisant suite au succès incontesté de Jurassic World qui a récolté une somme faramineuse au box-office mondial, JURASSIC WORLD: FALLEN KINGDOM / Monde jurassique: Le royaume déchu de J.A. Bayona [A monster's call, The Orphanage] s’amène sur le grand écran. Afin d’apprécier le film à sa juste valeur et de faire fi des stupidités incroyables du scénario, il est fortement recommandé de laisser son cerveau à la maison.
JURASSIC WORLD: FALLEN KINGDOM se situe trois ans après les événements de l’opus précédent. Le parc thématique Jurassic World sur Isla Numblar au large du Costa Rica a été détruit et les dinosaures ont été laissés à eux-mêmes. Le volcan sur l’île menace d’entrer en éruption à tout moment. À la suite de la décision du gouvernement américain de ne pas intervenir et laisser la nature suivre son cours, Claire Dearing [Bryce Dallas Howard] maintenant à la tête d’une organisation qui milite en faveur des dinosaures est mandatée par une de ses anciennes connaissances Eli Mills [Rafe Spall] afin sauver les dinosaures en voie de disparition. Eli travaille pour le compte du milliardaire Benjamin Lockwood [James Cromwell] ancien collègue de John Hammond (campé par Richard Attenborough dans les films de la saga). Les dinosaures seront évacués de l’île et placés dans un sanctuaire où ils pourront vivre librement, sans la présence d’humains. Traquer et capturer Blue, un vélociraptor intelligent, le dernier de son espèce ne sera pas une chose facile. Claire devra donc demander l’aide d’Owen Grady [Chris Pratt], son ex-petit ami. Arrivés sur l’île (Claire ne porte heureusement pas des talons hauts!), ils découvrent qu’il y a un complot...
Les spectateurs qui ne sont pas déjà investis sur Owen et Claire (qui n’ont aucune chimie entre eux) trouveront très peu à se mettre sous la dent. L’ensemble des nouveaux personnages est un amalgame de personnages agaçants (Franklin Webb et Zia Rodriguez), inutiles (Maisie Lockwood), caricaturaux (Eli Mills, Wheatley) et sous-utilisés (le docteur Ian Malcolm joué par Jeff Goldblum, Benjamin Lockwood). Tous sont si dépourvus de personnalité qu’il est très difficile de se soucier d’eux. Les acteurs donnent néanmoins une bonne performance. Heureusement qu’il y a des dinosaures! Les créatures ont toujours l’air réalistes et menaçantes et c’est d’ailleurs le seul élément qui rend le film intéressant. On se soucie plus de leur sort que de celui des personnages qui nous indiffère totalement. La scène où un brachiosaure meurt sur l’île est le moment le plus émouvant du long métrage. La première moitié du film est grandement supérieure à la seconde qui devient particulièrement ridicule. Selon moi, la meilleure scène d’action a lieu sur l’île lorsque le volcan entre en éruption. Quand l’action se déplace plus tard dans un manoir en Californie, les scènes sont nettement d’un calibre inférieur et le scénario s’essouffle à partir de ce moment. Certaines séquences ne tiennent pas la route et n’ont aucune incidence sur l’histoire (dont une certaine révélation concernant un personnage). Pour les fins observateurs, vous remarquerez une erreur de continuité plutôt flagrante qui devrait vous faire sourire. Le compositeur Michael Giacchino fait encore une fois un excellent travail. Toutefois, l’ajout d’opéra pour rendre une scène épique vers la fin du film a plutôt eu l’effet inverse et m’a fait éclater de rire. Le film comporte une courte scène post générique.
JURASSIC WORLD: FALLEN KINGDOM manque de mordant, mais devrait satisfaire les fans de la franchise.
Les spectateurs qui ne sont pas déjà investis sur Owen et Claire (qui n’ont aucune chimie entre eux) trouveront très peu à se mettre sous la dent. L’ensemble des nouveaux personnages est un amalgame de personnages agaçants (Franklin Webb et Zia Rodriguez), inutiles (Maisie Lockwood), caricaturaux (Eli Mills, Wheatley) et sous-utilisés (le docteur Ian Malcolm joué par Jeff Goldblum, Benjamin Lockwood). Tous sont si dépourvus de personnalité qu’il est très difficile de se soucier d’eux. Les acteurs donnent néanmoins une bonne performance. Heureusement qu’il y a des dinosaures! Les créatures ont toujours l’air réalistes et menaçantes et c’est d’ailleurs le seul élément qui rend le film intéressant. On se soucie plus de leur sort que de celui des personnages qui nous indiffère totalement. La scène où un brachiosaure meurt sur l’île est le moment le plus émouvant du long métrage. La première moitié du film est grandement supérieure à la seconde qui devient particulièrement ridicule. Selon moi, la meilleure scène d’action a lieu sur l’île lorsque le volcan entre en éruption. Quand l’action se déplace plus tard dans un manoir en Californie, les scènes sont nettement d’un calibre inférieur et le scénario s’essouffle à partir de ce moment. Certaines séquences ne tiennent pas la route et n’ont aucune incidence sur l’histoire (dont une certaine révélation concernant un personnage). Pour les fins observateurs, vous remarquerez une erreur de continuité plutôt flagrante qui devrait vous faire sourire. Le compositeur Michael Giacchino fait encore une fois un excellent travail. Toutefois, l’ajout d’opéra pour rendre une scène épique vers la fin du film a plutôt eu l’effet inverse et m’a fait éclater de rire. Le film comporte une courte scène post générique.
JURASSIC WORLD: FALLEN KINGDOM manque de mordant, mais devrait satisfaire les fans de la franchise.