🌟🌟🌟🌟🌟 THE INCREDIBLES 2, nouveau long-métrage d’animation de Pixar s’amène sur le grand écran 14 ans après le premier opus qui a charmé petits et grands. En plus d’être un succès incontesté au box-office, The Incredibles avait remporté l’Oscar du meilleur film d’animation en 2005. La grande quantité de gags et la panoplie de personnages attachants en font de THE INCREDIBLES 2 l’une des meilleures suites du studio d’animation.
La représentation du film débute par le magnifique court-métrage BAO (cliquez pour lire ma critique).
Comme The Incredibles remonte à plus d’une dizaine d’années, je recommande FORTEMENT de le revoir avant de visionner le plus récent opus. Les événements de THE INCREDIBLES 2 débutent au moment même où le premier volet s’achève. Rappelez-vous: la ville de Metroville est la cible de The Underminer. Bob Parr/Mr. Incredible [voix de Craig T. Nelson], Helen/Elastigirl [Holly Hunter] et leurs trois enfants : Violet [Sarah Cowell], Dash [Huck Milner] et le bébé Jack-Jack s’unissent pour vaincre ce nouvel ennemi. Ce faisant, ils enfreignent la loi, car les superhéros sont interdits. Ils se font arrêter par la police devant l’hôtel de ville au terme du combat. Les forces de l’ordre leur expliquent qu’il aurait été préférable de ne pas intervenir du tout. À sa sortie, la famille est forcée de vivre dans un motel, leur maison ayant été réduite en cendres (comme on l’a vu dans le premier volet). L’argent se fait rare depuis que Bob a perdu son emploi et le programme Super Relocation qui permettait à sa famille de se reloger lorsqu’il était démasqué a malheureusement pris fin. Helen est alors approchée par Winston Deavor [Bob Odenkirk], dirigeant de DevTeck, un géant de la télécommunication. Ce dernier et sa sœur Evelyn [Catherine Keener] continuent le travail de leur père qui prenait la cause des superhéros à cœur. Ils proposent qu’Helen devienne la porte-parole des superhéros afin de changer la perception des gens envers eux, ce qui serait un pas vers une modification de la loi. Pendant qu’Helen subvient financièrement aux besoins de la famille, Bob a la tâche de veiller sur les enfants, chose qui s’avère beaucoup plus difficile que prévu...
THE INCREDIBLES 2 est un chef-d’œuvre qui surpasse l’original. Le réalisateur et scénariste Brad Bird a fait le choix judicieux de ne pas faire vieillir les personnages. Le spectateur a donc l’occasion de renouer avec les attachants personnages principaux tel qu’il y a 14 ans. L’humour est au rendez-vous. Toutes les blagues fonctionnement et certaines séquences du film sont mémorables. Le bébé Jack-Jack vole complètement la vedette ici. Dans une scène qui sera probablement la favorite des spectateurs, Jack-Jack se bat contre un raton laveur affamé. L’étendue de ses pouvoirs est alors révélée au grand jour. Malgré que la séquence n’a aucun lien avec la trame narrative principale (similairement aux scènes de l’écureuil Scrat dans Ice Age), Jack-Jack est si adorable qu’on en veut et en redemande.
Ce volet suit les traces instaurées dans le film d’animation original et continue d’explorer le thème de la famille. Les dynamiques entre les cinq membres de la famille Parr sont encore une fois mises à l’avant. Bob et Helen ont inversé leurs rôles et les spectateurs pourront s’identifier avec les difficultés qu’éprouve Bob à élever ses trois enfants, surtout lorsque l’un d’entre eux est un bébé. Helen qui s’est libérée de la tâche d’être une maman à la maison a l’opportunité d’être sous les feux de la rampe en reprenant l’identité d’Elastigirl, ce qui causera une certaine jalousie/envie chez son mari. En ce qui a trait au récit principal (mais que peut bien vouloir The Screenslaver, un mystérieux vilain qui sévit dans la ville de New Urbem?), celui-ci comporte assez de rebondissements pour tenir en haleine le spectateur.
Les séquences d’action sont mises en scène de manière impeccable. Elles sont toutes exécutées avec panache et sont inventives et excitantes. Des nouveaux personnages, vous apprécierez la présence de Voyd [Sophia Bush], une superhéroïne en devenir qui a le pouvoir de créer des disques de téléportation. Lorsque cette habileté est juxtaposée avec les pouvoirs d’un autre superhéro, le résultat est impressionnant. Le monde rétrofuturiste influencé par les années 50-60 dans lequel évoluent les personnages est riche et détaillé. La trame sonore composée de nouveau par le réputé Michael Giacchino s’accorde magnifiquement avec toutes les scènes. Le film ne comporte aucune séquence supplémentaire, mais il est conseillé d’écouter les excellentes chansons-thème de Mr. Incredible, Frozone et Elastigirl durant le générique final.
Le studio d’animation Pixar a un autre succès entre ses mains. THE INCREDIBLES 2 est l’un des meilleurs films de l’année et est à voir dès sa sortie en salles ce vendredi!
Comme The Incredibles remonte à plus d’une dizaine d’années, je recommande FORTEMENT de le revoir avant de visionner le plus récent opus. Les événements de THE INCREDIBLES 2 débutent au moment même où le premier volet s’achève. Rappelez-vous: la ville de Metroville est la cible de The Underminer. Bob Parr/Mr. Incredible [voix de Craig T. Nelson], Helen/Elastigirl [Holly Hunter] et leurs trois enfants : Violet [Sarah Cowell], Dash [Huck Milner] et le bébé Jack-Jack s’unissent pour vaincre ce nouvel ennemi. Ce faisant, ils enfreignent la loi, car les superhéros sont interdits. Ils se font arrêter par la police devant l’hôtel de ville au terme du combat. Les forces de l’ordre leur expliquent qu’il aurait été préférable de ne pas intervenir du tout. À sa sortie, la famille est forcée de vivre dans un motel, leur maison ayant été réduite en cendres (comme on l’a vu dans le premier volet). L’argent se fait rare depuis que Bob a perdu son emploi et le programme Super Relocation qui permettait à sa famille de se reloger lorsqu’il était démasqué a malheureusement pris fin. Helen est alors approchée par Winston Deavor [Bob Odenkirk], dirigeant de DevTeck, un géant de la télécommunication. Ce dernier et sa sœur Evelyn [Catherine Keener] continuent le travail de leur père qui prenait la cause des superhéros à cœur. Ils proposent qu’Helen devienne la porte-parole des superhéros afin de changer la perception des gens envers eux, ce qui serait un pas vers une modification de la loi. Pendant qu’Helen subvient financièrement aux besoins de la famille, Bob a la tâche de veiller sur les enfants, chose qui s’avère beaucoup plus difficile que prévu...
THE INCREDIBLES 2 est un chef-d’œuvre qui surpasse l’original. Le réalisateur et scénariste Brad Bird a fait le choix judicieux de ne pas faire vieillir les personnages. Le spectateur a donc l’occasion de renouer avec les attachants personnages principaux tel qu’il y a 14 ans. L’humour est au rendez-vous. Toutes les blagues fonctionnement et certaines séquences du film sont mémorables. Le bébé Jack-Jack vole complètement la vedette ici. Dans une scène qui sera probablement la favorite des spectateurs, Jack-Jack se bat contre un raton laveur affamé. L’étendue de ses pouvoirs est alors révélée au grand jour. Malgré que la séquence n’a aucun lien avec la trame narrative principale (similairement aux scènes de l’écureuil Scrat dans Ice Age), Jack-Jack est si adorable qu’on en veut et en redemande.
Ce volet suit les traces instaurées dans le film d’animation original et continue d’explorer le thème de la famille. Les dynamiques entre les cinq membres de la famille Parr sont encore une fois mises à l’avant. Bob et Helen ont inversé leurs rôles et les spectateurs pourront s’identifier avec les difficultés qu’éprouve Bob à élever ses trois enfants, surtout lorsque l’un d’entre eux est un bébé. Helen qui s’est libérée de la tâche d’être une maman à la maison a l’opportunité d’être sous les feux de la rampe en reprenant l’identité d’Elastigirl, ce qui causera une certaine jalousie/envie chez son mari. En ce qui a trait au récit principal (mais que peut bien vouloir The Screenslaver, un mystérieux vilain qui sévit dans la ville de New Urbem?), celui-ci comporte assez de rebondissements pour tenir en haleine le spectateur.
Les séquences d’action sont mises en scène de manière impeccable. Elles sont toutes exécutées avec panache et sont inventives et excitantes. Des nouveaux personnages, vous apprécierez la présence de Voyd [Sophia Bush], une superhéroïne en devenir qui a le pouvoir de créer des disques de téléportation. Lorsque cette habileté est juxtaposée avec les pouvoirs d’un autre superhéro, le résultat est impressionnant. Le monde rétrofuturiste influencé par les années 50-60 dans lequel évoluent les personnages est riche et détaillé. La trame sonore composée de nouveau par le réputé Michael Giacchino s’accorde magnifiquement avec toutes les scènes. Le film ne comporte aucune séquence supplémentaire, mais il est conseillé d’écouter les excellentes chansons-thème de Mr. Incredible, Frozone et Elastigirl durant le générique final.
Le studio d’animation Pixar a un autre succès entre ses mains. THE INCREDIBLES 2 est l’un des meilleurs films de l’année et est à voir dès sa sortie en salles ce vendredi!