Mason Pettit [John Cena] est un ancien ranger de l'armée devenu père de famille dont la vie est bien moins excitante qu'elle ne l'était autrefois. Ses jours périlleux de globe-trotter dans l'armée ont été remplacés par une carrière difficile d'avocat infructueux et un mariage en ruine. Tout change lorsqu'un ancien copain militaire [Christian Slater] lui propose un emploi, travaillant dans la sécurité pour la journaliste primée et intrépide Claire Wellington [Alison Brie]. Wellington a obtenu une première interview mondiale avec un dictateur sud-américain notoire et excentrique, Venegas[Juan Pablo Raba]. Pettit saute sur l'occasion et saute dans un avion sans hésiter. À l'atterrissage, l'enfer de la banlieue de Pettit se transforme en un cauchemar de vie ou de mort. Il est pris dans un coup d'État violent et orchestré, seul avec Wellington et Venegas, moralement ambigu, pour s'échapper vivant du pays.
Réalisé par Pierre Morel qui nous a donné Taken, FREELANCE se veut d’être une comédie d’action mettant en vedette John Cena. L’acteur porte bien le film sur ses épaules. Il joue bien un homme costaud qui a de la profondeur et balance bien la comédie et l’action. Le principal problème du film réside du fait que ce n’est pas tout à fait un film d’action ni une comédie. Les moments où l’on tente de faire rire le spectateur ne fonctionnent pas et il n’y a pas énormément de scènes d’action. J'ai tout de même aimé les premières scènes du film tournés à la première personne. On mise plutôt sur les relations entre les personnages. Juan Pablo Raba vole presque la vedette à John Cena tellement que son personnage est mis à l’avant. Il est un dictateur, mais possède une profondeur qui pourrait surprendre. Il est loin d’être un méchant et sait tout ce qui se trame.
FREELANCE prend l’affiche le 27 octobre.
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