Nous avons toujours su qu’ils reviendraient. Après avoir redéfini le genre du film événement, le nouveau volet de INDEPENDENCE DAY nous révèle une catastrophe planétaire à une échelle inimaginable. En s’appropriant les technologies des extraterrestres, les différents territoires ont collaboré ensemble pour développer un vaste programme de défense planétaire. Mais rien ne peut nous préparer à la force supérieure et sans précédent des aliens. Seule l’ingéniosité de quelques hommes et femmes courageux pourra sauver notre monde de l’extinction. [20 Century Fox]
Après le succès au box-office de Jurassic World, il n’est pas surprenant que d’autres studios de films aient eu l’idée de produire des films basés sur des blockbusters des années 90. INDEPENDENCE DAY : RESURGENCE de Roland Emmerich est un de ceux-là. Sera-t-il à la hauteur du premier film qui avait engendré plus de 817 millions de dollars au box-office mondial?
Vingt années se sont écoulées depuis les événements du début de juillet 1996 où une invasion extraterrestre a détruit La Maison-Blanche, ainsi que des villes entières en plus de faire des millions de victimes. Le principal héros de cette catastrophe (qui avait fait exploser le vaisseau mère), le capitaine Steven Hiller est maintenant décédé et c’est son fils, le capitaine Dylan Hiller (Jessie Husher) qui a pris la relève. La ESD (Earth Space Defense) dont les bases militaires sont situées sur la Lune et Saturne se porte à la défense de la planète Terre en utilisant des armes basées sur les technologies extraterrestres. Les 20 dernières années se sont déroulées sans guerre ni conflit. La population terrestre est unie et doit le rester : elle n’en a pas le choix dans l’attente d’une éventuelle attaque. Vingt ans jour pour jour après la victoire contre les extraterrestres, un immense vaisseau mère de 3000 miles de diamètre fait son apparition. Il neutralise rapidement le système de défense établi sur la Lune et sur Saturne en plus de causer la destruction de plusieurs villes. À la suite de son atterrissage, il commence à creuser un trou au milieu de l’océan Atlantique. S’il arrive a atteindre le noyau de la Terre, cela causera l’anéantissement de la planète. Les humains qui ont perdu leur principale défense terrestre devront se rabattre sur l’escouade aérienne.
Le personnage interprété par Will Smith dans le premier film a été remplacé par une toute nouvelle génération de personnages. Premièrement, il y a le capitaine Dylan Hiller qui suit les traces de son beau-père; le lieutenant Jake Morisson (Liam Hemsworth), un pilote qui suite à un incident lors d’un exercice d’entrainement où il a mis la vie de Dylan en danger a été relégué à faire fonctionner un chariot élévateur sur la Lune; sa fiancée Patricia (Maika Monroe qui après The Guest et It Follows fait une première apparition dans un blockbuster) qui s’avère être la fille de l’ex-président Thomas Whitmore (Bill Pullman) et est l’assistante de la présidente des États-Unis, Elizabeth Lanford (Sela Ward) en plus de savoir piloter et Rain Lao (Angelababy), une pilote de l’escouade chinoise. Malheureusement, aucun de ces personnages ne se démarque. Les acteurs jouent assez bien leurs rôles respectifs, mais ils ne possèdent pas le charisme nécessaire pour rendre leurs personnages intéressants.
Les acteurs Jeff Goldblum, Judd Hirsch, Vivica A. Fox, Brent Spiner et Bill Pullman reprennent chacun leurs rôles respectifs. Bien que leur présence puisse créer un sentiment de nostalgie (sauf pour Vivica A. Fox qui n’apparaît que deux minutes dans le film), cela est gâché par des dialogues cucul. Les dialogues de nature humoristique ne fonctionnent parfois pas du tout et embêtent lorsqu’ils sont prononcés durant des séquences dramatiques.
Le principal problème du film est qu’il y a tout simplement trop de personnages. Avec toute cette panoplie de personnages, il est difficile de se soucier d’eux. Ils sont tous sous-développés (pas seulement les nouveaux venus, les anciens également) et par conséquent, leurs sorts nous laissent complètement indifférents. Alors que le film est déjà assez surpeuplé, le scénariste a décidé d’ajouter des personnages inutiles. La présence de la bande d’enfants et jeunes adolescents n’ajoute absolument rien à l’histoire et lors de la séquence d’action à bord de l’autobus scolaire, j’avais l’impression de regarder un épisode du Bus Magique...
Visuellement, la superproduction est tout à fait spectaculaire. (Je recommande de le voir au format IMAX.) La séquence où le vaisseau mère atterrit sur Terre est à couper le souffle et vaut à elle seule le prix du billet de cinéma. Les effets spéciaux utilisés pour créer les extraterrestres, dont la Reine sont très bien réalisés. Les séquences d’action le sont également.
Je peux comprendre pourquoi INDEPENDENCE DAY: RESURGENCE n’a pas été présenté aux critiques nord-américaines. Il n’est pas parfait, les dialogues insipides et les personnages ont sont les causes principales, mais il demeure tout de même un bon divertissement. Par son dénouement, il est évident qu’une suite est déjà envisagée. La production de cette suite n’aura probablement lieu que si le film fait un tabac au box-office. Je recommande donc de voir le long métrage au cinéma.
Vingt années se sont écoulées depuis les événements du début de juillet 1996 où une invasion extraterrestre a détruit La Maison-Blanche, ainsi que des villes entières en plus de faire des millions de victimes. Le principal héros de cette catastrophe (qui avait fait exploser le vaisseau mère), le capitaine Steven Hiller est maintenant décédé et c’est son fils, le capitaine Dylan Hiller (Jessie Husher) qui a pris la relève. La ESD (Earth Space Defense) dont les bases militaires sont situées sur la Lune et Saturne se porte à la défense de la planète Terre en utilisant des armes basées sur les technologies extraterrestres. Les 20 dernières années se sont déroulées sans guerre ni conflit. La population terrestre est unie et doit le rester : elle n’en a pas le choix dans l’attente d’une éventuelle attaque. Vingt ans jour pour jour après la victoire contre les extraterrestres, un immense vaisseau mère de 3000 miles de diamètre fait son apparition. Il neutralise rapidement le système de défense établi sur la Lune et sur Saturne en plus de causer la destruction de plusieurs villes. À la suite de son atterrissage, il commence à creuser un trou au milieu de l’océan Atlantique. S’il arrive a atteindre le noyau de la Terre, cela causera l’anéantissement de la planète. Les humains qui ont perdu leur principale défense terrestre devront se rabattre sur l’escouade aérienne.
Le personnage interprété par Will Smith dans le premier film a été remplacé par une toute nouvelle génération de personnages. Premièrement, il y a le capitaine Dylan Hiller qui suit les traces de son beau-père; le lieutenant Jake Morisson (Liam Hemsworth), un pilote qui suite à un incident lors d’un exercice d’entrainement où il a mis la vie de Dylan en danger a été relégué à faire fonctionner un chariot élévateur sur la Lune; sa fiancée Patricia (Maika Monroe qui après The Guest et It Follows fait une première apparition dans un blockbuster) qui s’avère être la fille de l’ex-président Thomas Whitmore (Bill Pullman) et est l’assistante de la présidente des États-Unis, Elizabeth Lanford (Sela Ward) en plus de savoir piloter et Rain Lao (Angelababy), une pilote de l’escouade chinoise. Malheureusement, aucun de ces personnages ne se démarque. Les acteurs jouent assez bien leurs rôles respectifs, mais ils ne possèdent pas le charisme nécessaire pour rendre leurs personnages intéressants.
Les acteurs Jeff Goldblum, Judd Hirsch, Vivica A. Fox, Brent Spiner et Bill Pullman reprennent chacun leurs rôles respectifs. Bien que leur présence puisse créer un sentiment de nostalgie (sauf pour Vivica A. Fox qui n’apparaît que deux minutes dans le film), cela est gâché par des dialogues cucul. Les dialogues de nature humoristique ne fonctionnent parfois pas du tout et embêtent lorsqu’ils sont prononcés durant des séquences dramatiques.
Le principal problème du film est qu’il y a tout simplement trop de personnages. Avec toute cette panoplie de personnages, il est difficile de se soucier d’eux. Ils sont tous sous-développés (pas seulement les nouveaux venus, les anciens également) et par conséquent, leurs sorts nous laissent complètement indifférents. Alors que le film est déjà assez surpeuplé, le scénariste a décidé d’ajouter des personnages inutiles. La présence de la bande d’enfants et jeunes adolescents n’ajoute absolument rien à l’histoire et lors de la séquence d’action à bord de l’autobus scolaire, j’avais l’impression de regarder un épisode du Bus Magique...
Visuellement, la superproduction est tout à fait spectaculaire. (Je recommande de le voir au format IMAX.) La séquence où le vaisseau mère atterrit sur Terre est à couper le souffle et vaut à elle seule le prix du billet de cinéma. Les effets spéciaux utilisés pour créer les extraterrestres, dont la Reine sont très bien réalisés. Les séquences d’action le sont également.
Je peux comprendre pourquoi INDEPENDENCE DAY: RESURGENCE n’a pas été présenté aux critiques nord-américaines. Il n’est pas parfait, les dialogues insipides et les personnages ont sont les causes principales, mais il demeure tout de même un bon divertissement. Par son dénouement, il est évident qu’une suite est déjà envisagée. La production de cette suite n’aura probablement lieu que si le film fait un tabac au box-office. Je recommande donc de voir le long métrage au cinéma.