Un groupe d'amis trouvent et réparent une machine à voyager dans le temps. Ils s'en servent pour leurs gains personnels, jusqu'au jour où ils se rendent compte des conséquences néfastes que cela occasionne.
Note:
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Les longs-métrages portant sur les voyages dans le temps sont nombreux. L'année dernière, j'ai vu plusieurs de ces films au cinéma : Time Lapse, Predestination, Edge of Tomorrow, The House at the End of Time, The Infinite man. PROJECT ALMANAC, le premier long-métrage du réalisateur Dean Israelite et produit par Michael Bay s'ajoute à la longue liste.
Lorsque David Raskin (Jonny Weston), un étudiant à l'école secondaire récemment accepté au MIT fouille dans les affaires de son père décédé, il trouve des plans et un 'temporal relocation prototype' i.e. une machine à voyager dans le temps. Étant lui-même un scientifique en devenir et à l'aide de ses meilleurs amis Quinn Goldberg (Sam Lerner) et Adam Lee (Allen Evangelista), il entreprend de construire la machine. Tout leur travail et expériences avec la machine est documenté par sa petite sœur Christina (Virginia Gardner) qui filme le tout.
La distribution est solide. Bien sûr, leurs performances ne valent certainement pas un Oscar, mais elles sont authentiques. Les personnages agissent naturellement comme le feraient les adolescents de nos jours s'ils avaient accès à une machine à voyager dans le temps, entre autres : gagner à la loterie (si on omet qu'il faut normalement être un adulte pour jouer à la loterie) ou devenir plus populaire à l'école. Chaque personnage a sa propre personnalité, Quinn est le plus comique du groupe et certaines séquences et dialogues arriveront à vous faire rire.
PROJECT ALMANAC est un thriller empreint d'une dose d'humour. Le ton est beaucoup plus léger durant la première moitié du film. Des références à d'autres films du même genre (Looper, Bill & Ted's Excellent Adventure, Terminator) sont présentes. Les voyages fréquents du groupe causent des conséquences imprévues qui donnent lieu à des scènes plus dramatiques durant la seconde moitié. L'humour présent en première partie disparait complètement pour laisser la place au drame qui débute lorsque David brise une règle qu'il a lui-même établie. Le scénario est simple et extrèmement facile à suivre pour un film de ce genre.
Vu qu'il s'agit d'un film tourné avec une caméra à main levée, le mouvement saccadé de la caméra est attendu, mais ne dérange pas. Par contre, la trame sonore entendue lors de montages, les angles impossibles de la caméra et l'utilisation de slow-motion dans une scène enlèvent le 'réalisme' du found-footage.
Si vous êtes un fan de films portant sur le voyage dans le temps ou de pellicule retrouvée, vous trouverez votre compte. Même si PROJECT ALMANAC n'apporte rien de nouveau à ces genres de films, il n'en demeure pas moins divertissant.
Lorsque David Raskin (Jonny Weston), un étudiant à l'école secondaire récemment accepté au MIT fouille dans les affaires de son père décédé, il trouve des plans et un 'temporal relocation prototype' i.e. une machine à voyager dans le temps. Étant lui-même un scientifique en devenir et à l'aide de ses meilleurs amis Quinn Goldberg (Sam Lerner) et Adam Lee (Allen Evangelista), il entreprend de construire la machine. Tout leur travail et expériences avec la machine est documenté par sa petite sœur Christina (Virginia Gardner) qui filme le tout.
La distribution est solide. Bien sûr, leurs performances ne valent certainement pas un Oscar, mais elles sont authentiques. Les personnages agissent naturellement comme le feraient les adolescents de nos jours s'ils avaient accès à une machine à voyager dans le temps, entre autres : gagner à la loterie (si on omet qu'il faut normalement être un adulte pour jouer à la loterie) ou devenir plus populaire à l'école. Chaque personnage a sa propre personnalité, Quinn est le plus comique du groupe et certaines séquences et dialogues arriveront à vous faire rire.
PROJECT ALMANAC est un thriller empreint d'une dose d'humour. Le ton est beaucoup plus léger durant la première moitié du film. Des références à d'autres films du même genre (Looper, Bill & Ted's Excellent Adventure, Terminator) sont présentes. Les voyages fréquents du groupe causent des conséquences imprévues qui donnent lieu à des scènes plus dramatiques durant la seconde moitié. L'humour présent en première partie disparait complètement pour laisser la place au drame qui débute lorsque David brise une règle qu'il a lui-même établie. Le scénario est simple et extrèmement facile à suivre pour un film de ce genre.
Vu qu'il s'agit d'un film tourné avec une caméra à main levée, le mouvement saccadé de la caméra est attendu, mais ne dérange pas. Par contre, la trame sonore entendue lors de montages, les angles impossibles de la caméra et l'utilisation de slow-motion dans une scène enlèvent le 'réalisme' du found-footage.
Si vous êtes un fan de films portant sur le voyage dans le temps ou de pellicule retrouvée, vous trouverez votre compte. Même si PROJECT ALMANAC n'apporte rien de nouveau à ces genres de films, il n'en demeure pas moins divertissant.