Dans ASSAULT SUR LONDRES, suite au décès du premier ministre de la Grande-Bretagne, emporté supposément d’une crise cardiaque, les dirigeants des pays les plus puissants du monde se rendent à Londres pour assister aux funérailles. L’événement qui semble être hautement sécurisé tourne au drame. Divers attentats causent la mort de tous les dirigeants du G7 (le premier ministre du Canada est le premier à mourir!), sauf celui des États-Unis, le président Benjamin Asher (Aaron Eckhart). L’agent secret Mike Banning (Gerald Butler) doit protéger le président coûte que coûte contre les agissements des terroristes qui veulent déstabiliser le monde occidental.
LONDON HAS FALLEN semble être une copie de son prédécesseur. L’histoire est similaire, sauf qu’elle a lieu à Londres au lieu de la Maison-Blanche. (Si vous avez apprécié Olympus Has Fallen, vous aimerez celui-ci également. Au contraire, si vous l’avez détesté, il est inutile de visionner celui-ci.).
On retrouve nos personnages quelques années après l’attaque de la Maison-Blanche. La femme de Mike attend son premier bébé et la date d’accouchement est prévue dans deux semaines. Mike, étant un homme fou de la sécurité a installé six caméras dans la chambre du bébé. Sa femme lui rétorque que le poupon n’aura besoin que d’un moniteur de bébé et peut-être, un matelas en kevlar… Prenant son futur rôle de père très au sérieux, Mike songe à démissionner de son poste d’agent des services secrets sommé à la protection du président des États-Unis. Le président, Benjamin Asher, en est à son deuxième mandat. Mike est appelé au devoir lorsque le président doit se rendre aux obsèques du premier ministre britannique mort subitement. À Londres, le président échappe de justesse à une tentative d’assassinat perpétré par des terroristes. Les autres hauts dirigeants meurent dans divers attentats, des bombes détruisent des monuments célèbres, les communications sont coupées et la ville est mise en état d’urgence. Ne pouvant pas faire confiance aux forces de l’ordre, car il y aurait une taupe, Mike doit s’assurer seul de la sécurité du président. À la Maison-Blanche, le vice-président des États-Unis, Trumbull (Morgan Freeman) doit prendre les grandes décisions. (Dans le film précédent, le personnage était président de la Chambre des Représentants.)
Avant toute chose, il faut s’assurer de laisser votre cerveau à la maison lorsque vous verrez le film. C’est la seule façon de l’apprécier à sa juste valeur. LONDON HAS FALLEN n’est pas vraiment une « suite » à proprement parler. Il n’est pas nécessaire d’avoir vu Olympus Has Fallen avant, car l’histoire ne fait aucune mention des événements. Il est tout de même recommandé de le voir pour comprendre la dynamique, la « bromance » qui existe entre Mike et Benjamin.
Gerald Butler interprète de nouveau le dur à cuire responsable de la protection du président. Le héros, presque anti-héro démolit tous ses adversaires, parfois sans qu’il en ait besoin. Il est une véritable machine à tuer. La violence envers les terroristes est extrême, par contre, les scènes ne sont bizarrement pas sanglantes alors qu’elles devraient l’être. La quasi-totalité de ses dialogues sont des one-liners : « Fuck me? Fuck you! », « Fuckheadistan » (en parlant d’un pays du Moyen-Orient), « I was wondering when you would come out of the closet. » sont des exemples hilarants de son vocabulaire.
LONDON HAS FALLEN déborde d’action. Ces séquences sont bonnes, rien d’extraordinaire. Par contre, plusieurs de ces dernières ont lieu dans le noir ne permettant pas de bien distinguer ce qui se passe. De plus, le CGI ne semble pas à point pour plusieurs scènes, ce qui donne un look bizarre au film. L’action se déroule à un rythme si effréné qu’on ne voit pas le temps passer (et on n’a pas non plus le temps de constater les trous du scénario!).
Après le déprimant Triple 9 que j'ai vu la semaine dernière, LONDON HAS FALLEN est exactement le film divertissant que j'avais besoin. À voir au cinéma.
On retrouve nos personnages quelques années après l’attaque de la Maison-Blanche. La femme de Mike attend son premier bébé et la date d’accouchement est prévue dans deux semaines. Mike, étant un homme fou de la sécurité a installé six caméras dans la chambre du bébé. Sa femme lui rétorque que le poupon n’aura besoin que d’un moniteur de bébé et peut-être, un matelas en kevlar… Prenant son futur rôle de père très au sérieux, Mike songe à démissionner de son poste d’agent des services secrets sommé à la protection du président des États-Unis. Le président, Benjamin Asher, en est à son deuxième mandat. Mike est appelé au devoir lorsque le président doit se rendre aux obsèques du premier ministre britannique mort subitement. À Londres, le président échappe de justesse à une tentative d’assassinat perpétré par des terroristes. Les autres hauts dirigeants meurent dans divers attentats, des bombes détruisent des monuments célèbres, les communications sont coupées et la ville est mise en état d’urgence. Ne pouvant pas faire confiance aux forces de l’ordre, car il y aurait une taupe, Mike doit s’assurer seul de la sécurité du président. À la Maison-Blanche, le vice-président des États-Unis, Trumbull (Morgan Freeman) doit prendre les grandes décisions. (Dans le film précédent, le personnage était président de la Chambre des Représentants.)
Avant toute chose, il faut s’assurer de laisser votre cerveau à la maison lorsque vous verrez le film. C’est la seule façon de l’apprécier à sa juste valeur. LONDON HAS FALLEN n’est pas vraiment une « suite » à proprement parler. Il n’est pas nécessaire d’avoir vu Olympus Has Fallen avant, car l’histoire ne fait aucune mention des événements. Il est tout de même recommandé de le voir pour comprendre la dynamique, la « bromance » qui existe entre Mike et Benjamin.
Gerald Butler interprète de nouveau le dur à cuire responsable de la protection du président. Le héros, presque anti-héro démolit tous ses adversaires, parfois sans qu’il en ait besoin. Il est une véritable machine à tuer. La violence envers les terroristes est extrême, par contre, les scènes ne sont bizarrement pas sanglantes alors qu’elles devraient l’être. La quasi-totalité de ses dialogues sont des one-liners : « Fuck me? Fuck you! », « Fuckheadistan » (en parlant d’un pays du Moyen-Orient), « I was wondering when you would come out of the closet. » sont des exemples hilarants de son vocabulaire.
LONDON HAS FALLEN déborde d’action. Ces séquences sont bonnes, rien d’extraordinaire. Par contre, plusieurs de ces dernières ont lieu dans le noir ne permettant pas de bien distinguer ce qui se passe. De plus, le CGI ne semble pas à point pour plusieurs scènes, ce qui donne un look bizarre au film. L’action se déroule à un rythme si effréné qu’on ne voit pas le temps passer (et on n’a pas non plus le temps de constater les trous du scénario!).
Après le déprimant Triple 9 que j'ai vu la semaine dernière, LONDON HAS FALLEN est exactement le film divertissant que j'avais besoin. À voir au cinéma.
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