1968. Judy Garland est endettée jusqu'au cou et n'a plus de domicile fixe. Elle doit pourtant avoir une résidence permanente et une situation financière stable si elle veut obtenir la garde de ses deux enfants. Elle accepte avec réticence l'offre de l'impresario Bernard Delfont [Michael Gambon] de se produire sur la scène du club The Talk of the Town pendant cinq semaines à Londres. Durant cette série de spectacles à guichets fermés, elle se remémore des événements de son adolescence dont les abus psychologiques qu'elle a subi de la part de Louis B. Mayer, le patron des studios MGM.
Adapté par Tom Edge de la pièce de théâtre End of The Rainbow, le biopic n'offre rien de mémorable, sauf pour la performance de Renée Zellweger. L'actrice qu'on a rarement vue au cinéma ces dernières années est absolument magnifique dans la peau de Judy Garland. Elle interprète avec authenticité toutes les facettes de sa personnalité comme sa faible estime de soi et de son équilibre mental fragile. En plus de camper le rôle, elle chante toutes les chansons qu'on entend dans le film. On reconnaît déjà son talent pour chanter grâce à sa prestation dans le film Chicago qui lui a valu une nomination aux Oscars comme meilleure actrice. Gageons qu'elle récoltera tous les honneurs dans une éventuelle remise de prix.
Adapté par Tom Edge de la pièce de théâtre End of The Rainbow, le biopic n'offre rien de mémorable, sauf pour la performance de Renée Zellweger. L'actrice qu'on a rarement vue au cinéma ces dernières années est absolument magnifique dans la peau de Judy Garland. Elle interprète avec authenticité toutes les facettes de sa personnalité comme sa faible estime de soi et de son équilibre mental fragile. En plus de camper le rôle, elle chante toutes les chansons qu'on entend dans le film. On reconnaît déjà son talent pour chanter grâce à sa prestation dans le film Chicago qui lui a valu une nomination aux Oscars comme meilleure actrice. Gageons qu'elle récoltera tous les honneurs dans une éventuelle remise de prix.