Synopsis
En 1627, la dynastie Ming en est à ses dernières années. Le jeune Empereur veut s'assurer de son pouvoir et désire effacer toute trace de son prédécesseur, le Eunuque Wei Zhongxian. Wei a plusieurs sympathisants "la clique Eunuque" que l'Empereur désire démanteler. La police secrète a le mandat d'assassiner/arrêter tous les membres de cette clique. Trois agents: Shen Lian, Lu Jianxing et Ji Yichuan ont la délicate mission de traquer et tuer Wei.
Le scénario tourne autour des trois agents. Chacun a un grand besoin d'argent. Leur salaire annuel de 20 taels d'argent ne leur suffit pas. Shen Lian veut libérer la courtisane (prostituée) Miaotong dont il est amoureux; Lu Jianxing veut offrir des pots-de-vin afin d'obtenir une promotion et Yichuan en a besoin pour payer Ding Xiu qui connaît son terrible secret et le fait chanter. Lorsque Wei leur propose 400 taels d'or pour lui laisser la vie sauve que vont-ils faire?
Les scènes d'action sont magnifiquement tournées. Les combats à l'épée sont authentiques, les "personnages volants" typiques des films wuxia ont étés utilisées minimalement. Le close-up de la caméra sur les séquences de bataille permet au spectateur de se trouver au coeur de l'action.
Les effets visuels laissent parfois à désirer. Dans une scène, lorsque le sang gicle, il est évident que le sang a été ajouté numériquement. Le film a tendance à être un peu trop cheesy et certaines séquences en particulier durant la dernière demie-heure sont beaucoup trop mélodramatiques à mon goût. L'utilisation de slow-motion durant des séquences qui n'en ont pas besoin est bizarre. La dernière scène du film porte également à confusion.
L'actrice Cecilia Liu est clairement utilisée comme eye-candy dans le rôle de Miaotong. Je ne suis pas convaincue de sa performance. Elle a la même expression de marbre sur son visage durant tout le film. L'immobilité du personnage dans sa dernière scène alors qu'elle est seulement blessée à l'épaule m'a fait rire. Elle reste là, assise à attendre que Shen Lian vienne la sauver alors qu'elle vient à peine de lui dire à sa manière qu'elle le déteste... Ouf.
Si l'on fait abstraction de tous ses petits défauts, BROTHERHOOD OF BLADES demeure un bon film chinois. Les fans de wuxia y trouveront leur compte. Le film est présenté en version originale chinoise (mandarin) le 11 juillet durant la 14e édition du New York Asian Film Festival.
Les scènes d'action sont magnifiquement tournées. Les combats à l'épée sont authentiques, les "personnages volants" typiques des films wuxia ont étés utilisées minimalement. Le close-up de la caméra sur les séquences de bataille permet au spectateur de se trouver au coeur de l'action.
Les effets visuels laissent parfois à désirer. Dans une scène, lorsque le sang gicle, il est évident que le sang a été ajouté numériquement. Le film a tendance à être un peu trop cheesy et certaines séquences en particulier durant la dernière demie-heure sont beaucoup trop mélodramatiques à mon goût. L'utilisation de slow-motion durant des séquences qui n'en ont pas besoin est bizarre. La dernière scène du film porte également à confusion.
L'actrice Cecilia Liu est clairement utilisée comme eye-candy dans le rôle de Miaotong. Je ne suis pas convaincue de sa performance. Elle a la même expression de marbre sur son visage durant tout le film. L'immobilité du personnage dans sa dernière scène alors qu'elle est seulement blessée à l'épaule m'a fait rire. Elle reste là, assise à attendre que Shen Lian vienne la sauver alors qu'elle vient à peine de lui dire à sa manière qu'elle le déteste... Ouf.
Si l'on fait abstraction de tous ses petits défauts, BROTHERHOOD OF BLADES demeure un bon film chinois. Les fans de wuxia y trouveront leur compte. Le film est présenté en version originale chinoise (mandarin) le 11 juillet durant la 14e édition du New York Asian Film Festival.