⭐️⭐️1/2 Ma critique du slasher de Noël SILENT NIGHT, DEADLY NIGHT.
Il y a plusieurs années, Billy Chapman a été témoin du meurtre de ses parents par un homme déguisé en Père Noël. Cela l’a traumatisé et plusieurs années plus tard il tue des victimes dans le temps de Noël lui-même déguisé en Père Noël. Il possède un calendrier de l’avent où il met une goutte de sang de sa victime du jour. Une voix dans sa tête lui ordonne de tuer, ce qu’il fait sans broncher. Cela fait presque 10 ans qu’il s’est adonné à cette tâche macabre. Cette année, les choses ont changé. Il est tombé amoureux de Pam qui a des troubles émotionnels et a réussi à avoir un emploi dans la boutique de Noël du père de celle-ci. Combien de temps Billy va pouvoir encore tuer sans éveiller les soupçons? Comment Pam va-t-elle réagir quand elle découvrira qui il est vraiment?
SILENT NIGHT, DEADLY NIGHT est une relecture du film éponyme de 1984 qui était le premier film d’une franchise. En fait, ce nouveau film reprend seulement l’idée qu’un jeune homme tue des gens déguisé en Père Noël. Tout le reste du film est bien différent et comporte même une touche de surnaturel.
Son intrigue est intéressante, mais le principal problème sont les scènes de mort qui sont décevantes. Billy tue avec une hache et à la longue cela devient répétitif. Il y a une scène amusante qui a lieu avec des Nazis, mais ces moments sont rares. On aime malgré tout l’utilisation d’effets pratiques. Malgré qu’il est un tueur, Billy est une bonne personne, car il tue des criminels. Il est un peu comme Dexter, un anti-héros. La voix qui lui ordonne de tuer s’appelle Charlie, est omnisciente et est capable de détecter les criminels aux alentours avant même que Billy les voit. Les interactions entre les deux sont similaires à Venom et Eddie Brock.
SILENT NIGHT, DEADLY NIGHT arrive dans les salles nord-américaines le 12 décembre.
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