⭐⭐⭐ THE MEG, le thriller de science-fiction signé Jon Turtletaub se base sur le roman de 1997 de l’écrivain de fiction Steve Alten intitulé Meg. Cette œuvre met en scène un Carcharocles megalodon, une espèce de requin qui a réellement existé il y a plus de 2 millions d’années.
Jonas Taylor [Jason Statham] sauveteur-plongeur expert des fonds marins est engagé par Zhang [Winston Chao] à la tête d’une équipe de recherche de la vie sous-marine pour sauver l’équipage de l’Origine, un submersible piloté par son ex-femme. Lors d’une mission d’exploration de l’écosystème marin en eau profonde, le véhicule a été attaqué par une créature gigantesque et gît maintenant dans un sous-sol marin jamais exploré situé dans l’océan Pacifique à 11 000 mètres sous terre. Jonas Taylor avait déjà émis l’hypothèse de la présence d’une créature à la suite d’un sauvetage désastreux de l’équipage d’un sous-marin nucléaire qui a coûté la vie à six personnes cinq ans plus tôt. Personne ne l’avait cru à ce moment-là, mais les choses ont changé. Il s’avère que la créature est un requin préhistorique gigantesque de 21 à 27 mètres de long nommé Mégalodon. Suivant cette mission de sauvetage, le requin s’aventure dans les eaux moins profondes et dévore tout ce qui bouge. Jonas Taylor devra tenter de maîtriser le prédateur avant qu’il fasse un véritable carnage sur les plages touristiques de la Thaïlande.
Personnellement, je m’attendais à ce que THE MEG soit un long-métrage beaucoup plus over-the-top réalisé dans le même style que Piranha 3D ou les films de Sharknado. Le premier tiers du film se prend trop au sérieux et les séquences sont majoritairement ancrées dans la réalité, ce qui donne des moments dramatiques ennuyants. Le côté divertissant débloque plus tard, mais jamais complètement. Le mégalodon n’effectue pas le carnage espéré. Dans une scène, on souhaiterait presque que le monstre émerge de l’eau pour s’attaquer à un hélicoptère. Malheureusement (ou heureusement pour certains), cela n’a pas lieu. Certaines décisions de quelques personnages font sourciller et il y a des inconsistances en ce qui a trait à la force du requin géant. Les effets spéciaux sont passables pour une méga production cinématographique et les scènes d’action bien réalisées.
Dans les meilleures séquences du film, on compte la présence d’un petit chien nommé Pippin (nommé ainsi en l’honneur du chien dans Jaws) ainsi que les scènes de l’adorable Shuya Sophia Cai qui interprète Meiying, une fillette de huit ans. La vedette anglaise Jason Statham délivre la marchandise dans l’un des rares films d’action sans combat, fusillades ou séquences de courses-poursuites de sa carrière en donnant une performance empreinte de charisme. Il est badass et comique lorsque le scénario le demande. Petit bémol: il ne possède aucune chimie avec l’actrice Bingbing Li. Les séquences « romantiques » entre leurs personnages sont forcées. La plupart des autres acteurs sont incapables d’exprimer les émotions avec authenticité. Le jeu de Ruby Rose est particulièrement atroce dans la scène où son personnage pleure.
THE MEG est actuellement à l’affiche. Je conseille d’attendre la sortie vidéo. Un « director's cut » avec les scènes gores qui ont été enlevées au montage suite à une décision des producteurs serait la bienvenue, car la version présentée en salle manque certainement de mordant.
Personnellement, je m’attendais à ce que THE MEG soit un long-métrage beaucoup plus over-the-top réalisé dans le même style que Piranha 3D ou les films de Sharknado. Le premier tiers du film se prend trop au sérieux et les séquences sont majoritairement ancrées dans la réalité, ce qui donne des moments dramatiques ennuyants. Le côté divertissant débloque plus tard, mais jamais complètement. Le mégalodon n’effectue pas le carnage espéré. Dans une scène, on souhaiterait presque que le monstre émerge de l’eau pour s’attaquer à un hélicoptère. Malheureusement (ou heureusement pour certains), cela n’a pas lieu. Certaines décisions de quelques personnages font sourciller et il y a des inconsistances en ce qui a trait à la force du requin géant. Les effets spéciaux sont passables pour une méga production cinématographique et les scènes d’action bien réalisées.
Dans les meilleures séquences du film, on compte la présence d’un petit chien nommé Pippin (nommé ainsi en l’honneur du chien dans Jaws) ainsi que les scènes de l’adorable Shuya Sophia Cai qui interprète Meiying, une fillette de huit ans. La vedette anglaise Jason Statham délivre la marchandise dans l’un des rares films d’action sans combat, fusillades ou séquences de courses-poursuites de sa carrière en donnant une performance empreinte de charisme. Il est badass et comique lorsque le scénario le demande. Petit bémol: il ne possède aucune chimie avec l’actrice Bingbing Li. Les séquences « romantiques » entre leurs personnages sont forcées. La plupart des autres acteurs sont incapables d’exprimer les émotions avec authenticité. Le jeu de Ruby Rose est particulièrement atroce dans la scène où son personnage pleure.
THE MEG est actuellement à l’affiche. Je conseille d’attendre la sortie vidéo. Un « director's cut » avec les scènes gores qui ont été enlevées au montage suite à une décision des producteurs serait la bienvenue, car la version présentée en salle manque certainement de mordant.
>
