☆☆☆☆Sorti en 2006, BON COP BAD COP s’ est avéré être un succès fulgurant au box-office en récoltant des recettes de 12.5 millions de dollars, ce qui en a fait de lui le long métrage le plus rentable de l’histoire du cinéma canadien. Il a fallu attendre plus de 10 ans pour connaître la suite des aventures du duo de policiers Martin Ward et David Bouchard. Que nous réserve BON COP BAD COP 2?
Dans ce nouveau volet, l’enquêteur de la Sûreté du Québec David Bouchard [Patrick Huard] s’est infiltré dans une organisation criminelle qui se spécialise dans les vols de voitures de luxe. Un soir, il se fait prendre dans un guet-apens de la Gendarmerie Royale du Canada. L’officier responsable de l’opération est Martin Ward [Colm Feore]. Le duo est de nouveau forcé à travailler ensemble, mais cette fois David doit répondre aux ordres de Martin (car la police fédérale est plus importante que la police provinciale!). Avec l’aide de MC [Marianna Mazza, hilarante dans son tout premier rôle au cinéma] qui offre le support informatique, le tandem tentera de remonter jusqu’au sommet de l’organisation criminelle et de neutraliser leur complot. Cette nouvelle affaire est beaucoup plus grosse qu’anticipée et les mènera entre autres de l’autre côté de la frontière canadienne.
Le premier volet de BON COP BAD COP était réalisé par Érik Canuel. Pour la suite, Alain Desrochers [Nitro, Nitro Rush] est derrière la caméra. Ce changement de réalisateur amène une nouvelle vision des choses. Le spectateur sera surpris par la qualité des séquences digne des longs métrages d’action américains. Le film carbure à l’adrénaline à un rythme tel que le spectateur n’a pas le temps de s’ attarder aux invraisemblances du scénario. La conjointe de Patrick Huard, Anik Jean signe une trame sonore endiablée et qui concorde parfaitement aux scènes. Bien sûr, l’humour y est omniprésent et contrairement aux blagues du film qui trône présentement au box-office (i.e. Guardians of the Galaxy Vol. 2 - ma critique), elles fonctionnent et ne sont pas forcées. La certaine rivalité qui existait entre David et Martin dans le premier opus est laissée derrière et à sa place, une véritable amitié a fait surface. La profonde complicité entre les deux personnages occupe une grande place dans le récit. La personnalité de l’un a presque déteint sur celle de l’autre. Étonnamment, le film comporte une charge plus émotive que l’opus original. La scène où nos deux héros discutent alors qu’ils sont menottés dans la salle d’interrogatoire d’un poste de police américain est particulièrement poignante. Toute la distribution joue avec aisance, Colm Feore impressionne par sa prestation empreinte d’émotions.
BON COP BAD COP 2 entremêlent parfaitement l’humour, les moments d’émotions et les scènes d’action à couper le souffle. Que demander de mieux?
Le duo de policier le plus explosif du cinéma québécois reprend du service ce 12 mai partout au Canada (une première pour un film québécois)! BON COP BAD COP 2 est à voir absolument!
Aura-t-on la chance de revoir les personnages dans un troisième opus? Je l’espère!
**Pour visionner toutes les photos que j'ai prises lors de la première médiatique du film, veuillez suivre les liens suivants:
Album #1: Acteurs et artisans du film
Album #2: Personnalités québécoises
Le premier volet de BON COP BAD COP était réalisé par Érik Canuel. Pour la suite, Alain Desrochers [Nitro, Nitro Rush] est derrière la caméra. Ce changement de réalisateur amène une nouvelle vision des choses. Le spectateur sera surpris par la qualité des séquences digne des longs métrages d’action américains. Le film carbure à l’adrénaline à un rythme tel que le spectateur n’a pas le temps de s’ attarder aux invraisemblances du scénario. La conjointe de Patrick Huard, Anik Jean signe une trame sonore endiablée et qui concorde parfaitement aux scènes. Bien sûr, l’humour y est omniprésent et contrairement aux blagues du film qui trône présentement au box-office (i.e. Guardians of the Galaxy Vol. 2 - ma critique), elles fonctionnent et ne sont pas forcées. La certaine rivalité qui existait entre David et Martin dans le premier opus est laissée derrière et à sa place, une véritable amitié a fait surface. La profonde complicité entre les deux personnages occupe une grande place dans le récit. La personnalité de l’un a presque déteint sur celle de l’autre. Étonnamment, le film comporte une charge plus émotive que l’opus original. La scène où nos deux héros discutent alors qu’ils sont menottés dans la salle d’interrogatoire d’un poste de police américain est particulièrement poignante. Toute la distribution joue avec aisance, Colm Feore impressionne par sa prestation empreinte d’émotions.
BON COP BAD COP 2 entremêlent parfaitement l’humour, les moments d’émotions et les scènes d’action à couper le souffle. Que demander de mieux?
Le duo de policier le plus explosif du cinéma québécois reprend du service ce 12 mai partout au Canada (une première pour un film québécois)! BON COP BAD COP 2 est à voir absolument!
Aura-t-on la chance de revoir les personnages dans un troisième opus? Je l’espère!
**Pour visionner toutes les photos que j'ai prises lors de la première médiatique du film, veuillez suivre les liens suivants:
Album #1: Acteurs et artisans du film
Album #2: Personnalités québécoises
>
