Dans UN HOLOGRAMME POUR LE ROI, Alan Clay (Tom Hanks), un homme d’affaires américain (Tom Hanks) est envoyé en Arabie Saoudite pour conclure un important contrat en technologies de l'information.
A HOLOGRAM FOR THE KING est une adaptation cinématographique du roman éponyme de Dave Eggers. Réalisé par Tom Tykwer qui nous a donné Cloud Atlas, il dirige une autre fois Tom Hanks qui y tient la vedette principale.
Récemment divorcé, l’homme d’affaires Alan Clay travaille pour la compagnie Reliant. Il est envoyé en Arabie Saoudite par son patron afin qu’il vende une nouvelle technologie au roi : un système de téléconférence qui utilise des hologrammes. (Alan a été envoyé, car plus jeune, il a rencontré le neveu du roi.) Si la vente a lieu, il obtiendra les moyens financiers pour envoyer sa fille Kit à l’université. Arrivé en sol saoudien, il est confronté à un véritable choc des cultures. Dû au décalage horaire, il se réveille en retard pour un rendez-vous (la scène est répétée de nombreuses fois dans le film). Il fait la connaissance de Yousef (Alexander Black) qui le conduit au King’s Metropolis of Economy and Trade, une sorte de ville- fantôme où tous les bâtiments sont en construction. Et pire encore l’endroit où il doit faire sa présentation au roi n’est qu’une tente sans nourriture et sans WiFi! De plus, le roi n’a pas mis les pieds dans la «métropole » depuis les six derniers mois et impossible de savoir quand il sera de retour. Stressé, fatigué, Alan découvre une grosse bosse dans son dos qui sera traité par la jolie médecin Zahra Hakem (Sarita Choudhury).
A HOLOGRAM FOR A KING aurait pu être excellent s’il avait eu un meilleur scénario. À la fin du film, on se rend compte qu’il ne s’est pas passé grand-chose. Alan se rend à la Mecque alors que c’est interdit aux non- musulmans et rien ne se passe. Alan va à la chasse aux loups et… rien ne se passe. La scène que dont le titre du film fait référence n’a qu’une durée d’une minute (et comprend un caméo de Ben Whishaw), ce qui est un peu décevant. Une romance se développe entre Alan et son médecin dans les dernières 20 minutes du film. La relation improbable semble sortir de nulle part.
Le film est doté d’une excellente cinématographie. La caméra capte élégamment des éléments d’une ville moderne près d’un immense désert. La séquence qui a lieu dans l’océan est également magnifique. Le scénario comporte des séquences et dialogues humoristiques, mais certaines blagues sont répétitives. Un exemple est celle où Alan tombe en bas de sa chaise qui est présente à trois reprises dans le film.
Attendre la sortie vidéo.
Récemment divorcé, l’homme d’affaires Alan Clay travaille pour la compagnie Reliant. Il est envoyé en Arabie Saoudite par son patron afin qu’il vende une nouvelle technologie au roi : un système de téléconférence qui utilise des hologrammes. (Alan a été envoyé, car plus jeune, il a rencontré le neveu du roi.) Si la vente a lieu, il obtiendra les moyens financiers pour envoyer sa fille Kit à l’université. Arrivé en sol saoudien, il est confronté à un véritable choc des cultures. Dû au décalage horaire, il se réveille en retard pour un rendez-vous (la scène est répétée de nombreuses fois dans le film). Il fait la connaissance de Yousef (Alexander Black) qui le conduit au King’s Metropolis of Economy and Trade, une sorte de ville- fantôme où tous les bâtiments sont en construction. Et pire encore l’endroit où il doit faire sa présentation au roi n’est qu’une tente sans nourriture et sans WiFi! De plus, le roi n’a pas mis les pieds dans la «métropole » depuis les six derniers mois et impossible de savoir quand il sera de retour. Stressé, fatigué, Alan découvre une grosse bosse dans son dos qui sera traité par la jolie médecin Zahra Hakem (Sarita Choudhury).
A HOLOGRAM FOR A KING aurait pu être excellent s’il avait eu un meilleur scénario. À la fin du film, on se rend compte qu’il ne s’est pas passé grand-chose. Alan se rend à la Mecque alors que c’est interdit aux non- musulmans et rien ne se passe. Alan va à la chasse aux loups et… rien ne se passe. La scène que dont le titre du film fait référence n’a qu’une durée d’une minute (et comprend un caméo de Ben Whishaw), ce qui est un peu décevant. Une romance se développe entre Alan et son médecin dans les dernières 20 minutes du film. La relation improbable semble sortir de nulle part.
Le film est doté d’une excellente cinématographie. La caméra capte élégamment des éléments d’une ville moderne près d’un immense désert. La séquence qui a lieu dans l’océan est également magnifique. Le scénario comporte des séquences et dialogues humoristiques, mais certaines blagues sont répétitives. Un exemple est celle où Alan tombe en bas de sa chaise qui est présente à trois reprises dans le film.
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