ATTACHEZ VOTRE CEINTURE! Vous ne vous souvenez de rien. Votre femme vient de vous ramener à la vie. Elle vous apprend votre nom : Henry. Cinq minutes plus tard, vous êtes la cible d’une armée de mercenaires menée par Akan, un puissant chef militaire en quête de domination du monde. Vous parvenez à vous échapper mais votre femme se fait kidnapper. Vous voilà perdu dans un Moscou hostile. Ici tout le monde semble vouloir votre mort. Vous ne pouvez compter sur personne. Sauf peut-être sur le mystérieux Jimmy (Sharlto Copley). Pouvez-vous lui faire confiance ? Arriverez-vous à survivre à ce chaos, sauver votre femme et à faire la lumière sur votre véritable identité ? Bonne chance Henry, vous allez en avoir besoin.
Le réalisateur Ilya Naishuller nous propose son tout premier long métrage, HARDCORE HENRY qui a été subventionné en partie par les dons du public. L’ensemble des scènes a été tourné grâce à des caméras GoPro.
Empruntant plusieurs éléments de FPS, le film nous transporte dans l’univers d’Henry, un homme mi-cyborg qui a pour mission de sauver son épouse des griffes d’Akan, un télékinésiste. Le principal vilain du film manque un peu de personnalité, par contre une bande-dessinée nommé Hardcore Akan a été distribué aux spectateurs contenant son backstory. Durant son périple, Henry bénéficiera de l’aide d’un allié, Jimmy. L’acteur qui interprète ce rôle, Sharlto Copley offre une performance mémorable. Il vole totalement la vedette dans le film. Il nous surprend par ses multiples talents. Tim Roth ne possède qu’un caméo de quelques secondes dans le film (deux scènes.)
Somme toute j’ai beaucoup apprécié ce film. Étant donné que je suis une grande admiratrice de jeux vidéo des tirs de la première personne, j’avais déjà une impression favorable du film avant de le voir. J’ai trouvé le concept vraiment original et il était temps que quelqu’un exploite cette idée parfaite pour un film d’action. Comme on pouvait s’y attendre, la violence est omniprésente tout au long du film. Décapitations, explosions, sang à profusions, filles nues… Tous les éléments propres aux jeux de tirs à la première personne sont réunis. Les scènes sont particulièrement intenses et bien construites, certaines sont empreintes de gore. Le film cible particulièrement les gamers qui ont l’habitude d’être exposés à de la violence en rafale des jeux vidéo. Les âmes sensibles devraient s’abstenir, car ils n’apprécieront définitivement pas ce style. Les influences/similitudes à certains jeux comme Mirror’s Edge, Medal of Honor/ Call of Duty sont nombreuses.
Même si le film ne s’est doté que d‘un budget de deux millions de dollars, les effets spéciaux sont crédibles et apportent du réalisme au film. La trame sonore complète bien les séquences d’action et ajoute parfois une touche d’humour. Par ailleurs, le scénario est agrémenté de moments cocasses, ce qui a bien fait rire l’auditoire. Toutefois, mon seul bémol concerne la durée du film. Personnellement, j’aurai aimé qu’il dure un peu plus longtemps. 90 minutes est tout de même une durée respectable pour un long métrage. Le rythme du film est tellement rapide qu’on ne voit pas le temps passer.
Les admirateurs de FPS seront certainement enchantés du film. Ceux qui ont l’estomac sensible et ne peuvent supporter de voir les mouvements trop saccadés de la caméra (comme dans Cloverfield) devront s’abstenir de le voir en salles. Je suis certaine que les critiques seront complètement divisées : les jeunes gamers de 15-40 ans l’encenseront tandis que les spectateurs plus âgés ne l’apprécieront pas.
Empruntant plusieurs éléments de FPS, le film nous transporte dans l’univers d’Henry, un homme mi-cyborg qui a pour mission de sauver son épouse des griffes d’Akan, un télékinésiste. Le principal vilain du film manque un peu de personnalité, par contre une bande-dessinée nommé Hardcore Akan a été distribué aux spectateurs contenant son backstory. Durant son périple, Henry bénéficiera de l’aide d’un allié, Jimmy. L’acteur qui interprète ce rôle, Sharlto Copley offre une performance mémorable. Il vole totalement la vedette dans le film. Il nous surprend par ses multiples talents. Tim Roth ne possède qu’un caméo de quelques secondes dans le film (deux scènes.)
Somme toute j’ai beaucoup apprécié ce film. Étant donné que je suis une grande admiratrice de jeux vidéo des tirs de la première personne, j’avais déjà une impression favorable du film avant de le voir. J’ai trouvé le concept vraiment original et il était temps que quelqu’un exploite cette idée parfaite pour un film d’action. Comme on pouvait s’y attendre, la violence est omniprésente tout au long du film. Décapitations, explosions, sang à profusions, filles nues… Tous les éléments propres aux jeux de tirs à la première personne sont réunis. Les scènes sont particulièrement intenses et bien construites, certaines sont empreintes de gore. Le film cible particulièrement les gamers qui ont l’habitude d’être exposés à de la violence en rafale des jeux vidéo. Les âmes sensibles devraient s’abstenir, car ils n’apprécieront définitivement pas ce style. Les influences/similitudes à certains jeux comme Mirror’s Edge, Medal of Honor/ Call of Duty sont nombreuses.
Même si le film ne s’est doté que d‘un budget de deux millions de dollars, les effets spéciaux sont crédibles et apportent du réalisme au film. La trame sonore complète bien les séquences d’action et ajoute parfois une touche d’humour. Par ailleurs, le scénario est agrémenté de moments cocasses, ce qui a bien fait rire l’auditoire. Toutefois, mon seul bémol concerne la durée du film. Personnellement, j’aurai aimé qu’il dure un peu plus longtemps. 90 minutes est tout de même une durée respectable pour un long métrage. Le rythme du film est tellement rapide qu’on ne voit pas le temps passer.
Les admirateurs de FPS seront certainement enchantés du film. Ceux qui ont l’estomac sensible et ne peuvent supporter de voir les mouvements trop saccadés de la caméra (comme dans Cloverfield) devront s’abstenir de le voir en salles. Je suis certaine que les critiques seront complètement divisées : les jeunes gamers de 15-40 ans l’encenseront tandis que les spectateurs plus âgés ne l’apprécieront pas.
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