Quatre années après la bataille de Gallipoli qui a eu lieu durant la Première Guerre mondiale, Joshua Connor, un fermier australien quitte son pays natal et voyage en Turquie afin de retrouver ses trois fils, disparus au combat.
THE WATER DIVINER a reçu le prix du meilleur long-métrage lors de la dernière édition des AACTA awards. Il marque la première incursion de l'acteur Russell Crowe en tant que réalisateur. Il interprète également Joshua Connor, un sourcier (d'où le titre du film).
Il est écrit au début du long métrage que le scénario est basé sur des faits réels. Le film perd toute sa crédibilité par la façon magique qu'a Joshua de retrouver ses fils. Lorsqu'il se trouve dans l'ancien champ de bataille à Gallipoli, le dernier lieu où ils ont été vus vivants, il DEVINE où sont deux de ses fils, pour le dernier, il fait un rêve qui indique son emplacement...
La performance de Russell Crowe est adéquate, mais sans plus. Comme d'habitude, il réussit à bien exprimer ses émotions, mais sa façon de jouer ne m'a pas particulièrement impressionnée. Yilman Erdogan campe Major Hasan, un héros de guerre turc qui aidera Joshua dans ses recherches. Au départ, la relation entre les deux est tendue, mais se développera en amitié. Jai Courtney a peu à faire que son personnage disparaît en plein milieu du film. L'actrice Isabel Lucas qui interprète Natalia est tellement peu présente (à peine 5 minutes) qu'on se demande quelle est l'utilité de son personnage.
De plus, la romance qui se développe entre Joshua et Ayshe (Olga Kurylenko), propriétaire de l'hôtel où il est hébergé, est clichée et forcée. L'aspect romantique dont un dîner aux chandelles ne semble pas avoir sa place dans le film et aurait très bien pu être enlevé. Le scénario est décousu. Certaines scènes qui devraient normalement être extrêmement dramatiques et émotionnelles n'arrivent pas à nous émouvoir. Ces scènes sont trop longues qu'elles perdent l'effet qu'elles voulaient produire. On ne ressent donc rien durant ces séquences. Par contre, les quelques scènes de flashback qui dépeint la guerre sont intéressantes.
THE WATER DIVINER n'est tout simplement pas un film que je recommande.
Il est écrit au début du long métrage que le scénario est basé sur des faits réels. Le film perd toute sa crédibilité par la façon magique qu'a Joshua de retrouver ses fils. Lorsqu'il se trouve dans l'ancien champ de bataille à Gallipoli, le dernier lieu où ils ont été vus vivants, il DEVINE où sont deux de ses fils, pour le dernier, il fait un rêve qui indique son emplacement...
La performance de Russell Crowe est adéquate, mais sans plus. Comme d'habitude, il réussit à bien exprimer ses émotions, mais sa façon de jouer ne m'a pas particulièrement impressionnée. Yilman Erdogan campe Major Hasan, un héros de guerre turc qui aidera Joshua dans ses recherches. Au départ, la relation entre les deux est tendue, mais se développera en amitié. Jai Courtney a peu à faire que son personnage disparaît en plein milieu du film. L'actrice Isabel Lucas qui interprète Natalia est tellement peu présente (à peine 5 minutes) qu'on se demande quelle est l'utilité de son personnage.
De plus, la romance qui se développe entre Joshua et Ayshe (Olga Kurylenko), propriétaire de l'hôtel où il est hébergé, est clichée et forcée. L'aspect romantique dont un dîner aux chandelles ne semble pas avoir sa place dans le film et aurait très bien pu être enlevé. Le scénario est décousu. Certaines scènes qui devraient normalement être extrêmement dramatiques et émotionnelles n'arrivent pas à nous émouvoir. Ces scènes sont trop longues qu'elles perdent l'effet qu'elles voulaient produire. On ne ressent donc rien durant ces séquences. Par contre, les quelques scènes de flashback qui dépeint la guerre sont intéressantes.
THE WATER DIVINER n'est tout simplement pas un film que je recommande.