Après avoir survécu à un malencontreux accident de voiture à l'âge de 29 ans, Adaline Bowman a cessé de vieillir. Durant les 80 prochaines années, elle évite d'entretenir une relation sérieuse avec un homme de peur que son secret ne soit connu. Sa solitude prendra fin lorsqu'elle fait la connaissance d'Ellis Jones et en tombe amoureuse. Pourra-t-elle garder son secret encore longtemps?
Avant toute chose, je dois vous dire que je ne regarde que TRÈS rarement des films romantiques au cinéma. C'est le genre qui m'attire le moins. De la centaine de films que je vois au cinéma annuellement, je n'en vois qu'à peu près un seul par année. Ma curiosité du côté fantastique de AGE OF ADALINE était ma seule raison pour le voir.
Il faut absolument que je mentionne le voice-over (j'ai vu la version originale anglaise du film). Le narrateur a une voix tellement sérieuse et grave que j'ai parfois eu l'impression de voir un documentaire scientifique! J'ai trouvé hilarantes les scènes où il explique le phénomène magique/scientifique qui s'est produit lors de l'accident de voiture d'Adaline. Le charabia scientifique distrait totalement le spectateur qui n'a d'autre choix que de croire tout ce qui est dit. Heureusement ce genre de distraction n'apparaît pas tout au long du film. On entend le voice-over principalement au début et à la fin du film. Ouf!
Blake Lively est jolie et interprète avec élégance Adaline Marie Bowman, une « jeune » femme très sophistiquée. Les différents habits et coiffures qu'elle porte lui vont à merveille. Son style vintage s'agence bien avec sa douce personnalité. Sa manière de parler reflète celle d'une autre époque. Blake exprime avec aisance la mélancolie du personnage. Avant de faire la rencontre Ellis (Michiel Huisman) la veille du jour de l'an et de son anniversaire de naissance, Adaline vit dans la solitude et n'a pas d'autre ami que son chien. Comme elle souhaite garder son immortalité secrète, elle change d'identité, d'apparence et déménage toutes les décennies. Elle est maintenant connue sous le nom de Jennifer Larson et travaille dans une bibliothèque à San Francisco. La seule personne qui connaît son secret est sa fille Flemming (Ellen Burstyn) qui est âgée d'environ 80 ans. Ce secret menace d'être dévoilé lorsqu'Adaline et Ellis passent une fin de semaine chez les parents de ce dernier qui fêtent leur 40e anniversaire de mariage.
La chimie qui existe entre elle et son partenaire principal de jeu est au rendez-vous, tout comme entre elle et Harrison Ford, l'interprète du père d'Ellis, William. Ce dernier fait son apparition que très tard dans le film et tient un rôle plus émotif qu'à l'habitude. Mentionnons également la ressemblance frappante de l'acteur qui interprète la version jeune de Harrison Ford. Je n'avais jamais entendu parler de ce comédien avant et j'ai même cru que du CGI a été utilisé. En plus de lui ressembler, il imite à la perfection sa voix.
Le scénario est prévisible et l'action du film avance lentement. Par contre, une petite touche d'humour rend le tout plus plaisant. Les dialogues sont beaucoup moins cucul qu'anticipés. THE AGE OF ADALINE saura plaire aux fans de chick flicks. Pour les autres, vous pouvez attendre sa sortie vidéo.
Il faut absolument que je mentionne le voice-over (j'ai vu la version originale anglaise du film). Le narrateur a une voix tellement sérieuse et grave que j'ai parfois eu l'impression de voir un documentaire scientifique! J'ai trouvé hilarantes les scènes où il explique le phénomène magique/scientifique qui s'est produit lors de l'accident de voiture d'Adaline. Le charabia scientifique distrait totalement le spectateur qui n'a d'autre choix que de croire tout ce qui est dit. Heureusement ce genre de distraction n'apparaît pas tout au long du film. On entend le voice-over principalement au début et à la fin du film. Ouf!
Blake Lively est jolie et interprète avec élégance Adaline Marie Bowman, une « jeune » femme très sophistiquée. Les différents habits et coiffures qu'elle porte lui vont à merveille. Son style vintage s'agence bien avec sa douce personnalité. Sa manière de parler reflète celle d'une autre époque. Blake exprime avec aisance la mélancolie du personnage. Avant de faire la rencontre Ellis (Michiel Huisman) la veille du jour de l'an et de son anniversaire de naissance, Adaline vit dans la solitude et n'a pas d'autre ami que son chien. Comme elle souhaite garder son immortalité secrète, elle change d'identité, d'apparence et déménage toutes les décennies. Elle est maintenant connue sous le nom de Jennifer Larson et travaille dans une bibliothèque à San Francisco. La seule personne qui connaît son secret est sa fille Flemming (Ellen Burstyn) qui est âgée d'environ 80 ans. Ce secret menace d'être dévoilé lorsqu'Adaline et Ellis passent une fin de semaine chez les parents de ce dernier qui fêtent leur 40e anniversaire de mariage.
La chimie qui existe entre elle et son partenaire principal de jeu est au rendez-vous, tout comme entre elle et Harrison Ford, l'interprète du père d'Ellis, William. Ce dernier fait son apparition que très tard dans le film et tient un rôle plus émotif qu'à l'habitude. Mentionnons également la ressemblance frappante de l'acteur qui interprète la version jeune de Harrison Ford. Je n'avais jamais entendu parler de ce comédien avant et j'ai même cru que du CGI a été utilisé. En plus de lui ressembler, il imite à la perfection sa voix.
Le scénario est prévisible et l'action du film avance lentement. Par contre, une petite touche d'humour rend le tout plus plaisant. Les dialogues sont beaucoup moins cucul qu'anticipés. THE AGE OF ADALINE saura plaire aux fans de chick flicks. Pour les autres, vous pouvez attendre sa sortie vidéo.