⭐️⭐️⭐️⭐️ On attendait avec impatience la sortie du 36e film de l’univers cinématographique Marvel, THUNDERBOLTS*. Voici ma critique.
Marvel Studios rassemble une équipe de anti-héros peu conventionnelle : Yelena Belova, Bucky Barnes, Red Guardian, Le Ghost et John Walker. Tombés dans un piège redoutable tendu par Valentina Allegra de Fontaine, ces laissés pour compte complètement désabusés doivent participer à une mission à haut risque qui les forcera à se confronter aux recoins les plus sombres de leur passé. Ce groupe dysfonctionnel se déchirera-t-il ou trouvera-t-il sa rédemption en s’unissant avant qu’il ne soit trop tard ?
L’équipe des Thunderbolts est formée d’un groupe hétéroclite d’héros et d’antihéros qu’on a déjà vus dans divers films et série télévisée de l’univers cinématographie Marvel et de Bob, un nouveau personnage. On aime la chimie qui se forme entre ces divers membres et lorsqu’ils se taquinent entre eux. Leurs dynamiques sont captivantes et sont une force du long-métrage. L’intrigue se centre davantage sur Yelena Belova et Bob qui ont un périple mental à faire et les acteurs qui les incarnent donnent des performances débordantes d’authenticité. Les autres personnages sont relégués au second rang dont Bucky Barnes qui a malheureusement peu à faire ici.
L’humour est au rendez-vous dans des blagues qui fonctionnent toutes pour la plupart. En plus de l’humour, on traite des thèmes de la santé mentale, de la solitude et de la dépression qui sont intégrants à l’intrigue. C’est pour cette raison que je ne recommande pas ce film pour les jeunes enfants. Le film résonnera pour toute personne qui a passé au travers de la dépression ou qui se bat toujours. Rappelez-vous que vous n’êtes pas seuls. Malgré ces thèmes sérieux, le film reste amusant grâce entre autres à des séquences d’action créatives, quoique on aurait aimé en voir davantage.
THUNDERBOLTS* prend l’affiche le 2 mai en Amérique du Nord.