THE 9TH LIFE OF LOUIS DRAX est l’adaptation cinématographique du roman éponyme écrit par Liz Jensen en 2004. Le réalisateur Alexandre Aja (Haute Tension, The Hills Have Eyes) nous présente un film unique qui se veut différent de tous les autres actuellement à l’affiche.
Louis Drax [Aiden Longworth] n’est pas un petit garçon de neuf ans comme les autres. Chaque année de sa courte vie, il a survécu à un grave accident. Selon ses dires, même sa naissance serait un accident. Un ventilateur installé sur le plafond de sa chambre s’est écrasé sur son lit lorsqu’il était bébé, il a survécu à de l’électrocution, empoisonnement, différentes maladies et a même déjà arrêté de respirer pendant 9 minutes. Sa mère croit qu’il est un ange, mais il est certain que bientôt, il va subir l’accident de tous les accidents, celui qui va le tuer.
Un après-midi, Louis et ses parents Nathalie [Sarah Gadon, Enemy, Dracula Untold – lire mes critiques] et Peter [Aaron Paul, Need for Speed, Triple 9, Eye in the Sky – lire mes critiques] font un pique-nique en haut d’une falaise qui surplombe l’océan. Louis tombe en bas de la falaise et se noie. Selon les autorités policières, Peter l’aurait poussé et il est maintenant activement recherché par la police. Louis est déclaré mort par un médecin, mais par miracle, il présente des signes de vie deux heures plus tard. Seul problème: il est plongé dans un profond coma. Le neurologue Allan Pascal [Jamie Dornan, excellent dans Antropoid qui est toujours à l’affiche] se penche sur son cas en plus de tomber sous le charme de la mère de l’enfant qui, sous le choc, est incapable de raconter ce qui s’est réellement passé.
THE 9TH LIFE OF LOUIS DRAX est bizarre et semble changer de type de film au fur et à mesure que l’histoire avance. Les premiers moments laissent supposer qu’il s’agit d’un film familial et charmant avec un ton léger similaire au Fabuleux Destin d’Amélie Poulin alors que certains éléments surnaturels qui nous sont présentés alors que Louis (dans le coma) discute avec un humanoïde marin nous rappellent Pan’s Labyrinth de Guillermo Del Toro. Le scénario offre également une part de mystère/thriller/drame psychologique ainsi que des rebondissements qui nous prennent par surprise (car on n’a aucune idée du type de film qu’on est en train de visionner) et une scène similaire à ce qu’on pourrait voir dans un thriller érotique ne conviendra pas aux enfants. Le mélange de genre rend le long-métrage unique bien que je ne suis pas certaine que tous vont apprécier.
Par l’entremise d’un voice-over tout au long du film (excellent « voice acting » de la part du jeune acteur Aiden Longworth), Louis raconte son histoire et ses souvenirs à la créature marine qui veut connaître la vérité. Louis n’a pas d’amis et est surnommé « wacko-boy » par ses pairs. Il suit un psychiatre, le Dr Perez [Oliver Platt] et a une façon bizarre de s’exprimer qui dénote une maturité et une immaturité en même temps. Son comportement face à ses hamsters dérange. Ses parents, Nathalie et Peter ne semblent plus s’aimer et se chicanent pour des riens. Même si le personnage de Peter n’apparaît pas beaucoup, le jeu d’Aaron Paul est celui qui se démarque de tous les autres acteurs. Il rend le personnage sympathique et les séquences qui mettent en scène le père et son fils sont touchantes. Le maquillage utilisé pour créer la créature marine est un autre élément notable.
THE 9TH LIFE OF LOUIS DRAX va probablement diviser la critique, mais le caractère unique du film en fait un à voir au cinéma.
Un après-midi, Louis et ses parents Nathalie [Sarah Gadon, Enemy, Dracula Untold – lire mes critiques] et Peter [Aaron Paul, Need for Speed, Triple 9, Eye in the Sky – lire mes critiques] font un pique-nique en haut d’une falaise qui surplombe l’océan. Louis tombe en bas de la falaise et se noie. Selon les autorités policières, Peter l’aurait poussé et il est maintenant activement recherché par la police. Louis est déclaré mort par un médecin, mais par miracle, il présente des signes de vie deux heures plus tard. Seul problème: il est plongé dans un profond coma. Le neurologue Allan Pascal [Jamie Dornan, excellent dans Antropoid qui est toujours à l’affiche] se penche sur son cas en plus de tomber sous le charme de la mère de l’enfant qui, sous le choc, est incapable de raconter ce qui s’est réellement passé.
THE 9TH LIFE OF LOUIS DRAX est bizarre et semble changer de type de film au fur et à mesure que l’histoire avance. Les premiers moments laissent supposer qu’il s’agit d’un film familial et charmant avec un ton léger similaire au Fabuleux Destin d’Amélie Poulin alors que certains éléments surnaturels qui nous sont présentés alors que Louis (dans le coma) discute avec un humanoïde marin nous rappellent Pan’s Labyrinth de Guillermo Del Toro. Le scénario offre également une part de mystère/thriller/drame psychologique ainsi que des rebondissements qui nous prennent par surprise (car on n’a aucune idée du type de film qu’on est en train de visionner) et une scène similaire à ce qu’on pourrait voir dans un thriller érotique ne conviendra pas aux enfants. Le mélange de genre rend le long-métrage unique bien que je ne suis pas certaine que tous vont apprécier.
Par l’entremise d’un voice-over tout au long du film (excellent « voice acting » de la part du jeune acteur Aiden Longworth), Louis raconte son histoire et ses souvenirs à la créature marine qui veut connaître la vérité. Louis n’a pas d’amis et est surnommé « wacko-boy » par ses pairs. Il suit un psychiatre, le Dr Perez [Oliver Platt] et a une façon bizarre de s’exprimer qui dénote une maturité et une immaturité en même temps. Son comportement face à ses hamsters dérange. Ses parents, Nathalie et Peter ne semblent plus s’aimer et se chicanent pour des riens. Même si le personnage de Peter n’apparaît pas beaucoup, le jeu d’Aaron Paul est celui qui se démarque de tous les autres acteurs. Il rend le personnage sympathique et les séquences qui mettent en scène le père et son fils sont touchantes. Le maquillage utilisé pour créer la créature marine est un autre élément notable.
THE 9TH LIFE OF LOUIS DRAX va probablement diviser la critique, mais le caractère unique du film en fait un à voir au cinéma.
>
