Dans NOS VOISINS LES JONES/KEEPING UP WITH THE JONES, le couple formé de Jeff et Karen Gaffney apprend que les Jones, leurs nouveaux voisins sont en fait des agents secrets.
Quelque part dans une banlieue paisible de Georgia à Atlanta, une maison explose! Le film fait ensuite un retour en arrière il y a deux semaines précédant cette explosion. Jeff (Zach Galifianakis), un employé des ressources humaines de la compagnie McDowell-Burton International (MBI) et sa femme Karen Gaffney (Isla Fisher) envoient leurs deux garçons dans un camp de vacances. Le moment est parfait pour remettre du piment dans leur vie de couple. Quoi faire? Faire un party? Boire de l’alcool à profusion? Passer la soirée à avoir des relations sexuelles? Ils décident de passer une nuit tranquille à regarder un DVD. L’arrivée des Jones, leurs nouveaux voisins d’en face arrivera peut-être à vivifier leur couple. Les Jones sont élégants, sophistiqués et lors du Junetober Fest ils charment tout de suite les gens du voisinage. Tim (Jon Hamm) est un journaliste globe-trotter et Nathalie (Gal Gadot – Batman v. Superman, Criminal, Triple 9, Fast and Furious 6), conseillère des médias sociaux en plus d’être blogueuse culinaire. Karen suspecte dès le départ que le couple n’est pas ce qu’ils prétendent être : ils ont acheté la résidence sans l’avoir visité et lors du Junetober Fest, elle a surpris Tim à fouiner dans sa maison. De plus, les Jones sont beaucoup trop accomplis pour une vie ordinaire en banlieue. Jeff et Karen se trouveront mêlés à une histoire d’espionnage qui mettra leur vie en danger.
KEEPING UP WITH THE JONES entremêle comédie et action. L’aspect comédie laisse parfois à désirer. Les blagues dans les dialogues tombent souvent à plat, ne provoquant que des réactions minimales parmi l’audience (quelques rires ici et là dans une salle remplie à pleine capacité lors du visionnement). L’humour de style « slapstick » fonctionne mieux. Par contre, aucun moment n’est vraiment hilarant. Pour nous divertir, le long métrage doit donc se rabattre sur l’action ou l’intrigue. Cette dernière est linéaire et n’offre aucun rebondissement. Le fait que les Jones sont des espions ou non est révélé très tôt dans le film alors qu’on les voit s’introduire par effraction dans les bureaux du MBI, une entreprise spécialisée dans la défense américaine. Les séquences d’action sont au nombre minimum et n’excitent pas autant qu’elles devraient l’être, principalement dû aux dialogues qui ne sont pas très comiques. Le moment du film qui a causé le plus de surprise est l’arrivée du « Scorpion », mais le spectateur n’a qu’à regarder la distribution du film pour connaître de qui il s’agit.
KEEPING UP WITH THE JONES du réalisateur Greg Mottola (Superbad, Adventureland, Paul) est un film moyennement divertissant. Il est préférable d’attendre la sortie vidéo.
KEEPING UP WITH THE JONES entremêle comédie et action. L’aspect comédie laisse parfois à désirer. Les blagues dans les dialogues tombent souvent à plat, ne provoquant que des réactions minimales parmi l’audience (quelques rires ici et là dans une salle remplie à pleine capacité lors du visionnement). L’humour de style « slapstick » fonctionne mieux. Par contre, aucun moment n’est vraiment hilarant. Pour nous divertir, le long métrage doit donc se rabattre sur l’action ou l’intrigue. Cette dernière est linéaire et n’offre aucun rebondissement. Le fait que les Jones sont des espions ou non est révélé très tôt dans le film alors qu’on les voit s’introduire par effraction dans les bureaux du MBI, une entreprise spécialisée dans la défense américaine. Les séquences d’action sont au nombre minimum et n’excitent pas autant qu’elles devraient l’être, principalement dû aux dialogues qui ne sont pas très comiques. Le moment du film qui a causé le plus de surprise est l’arrivée du « Scorpion », mais le spectateur n’a qu’à regarder la distribution du film pour connaître de qui il s’agit.
KEEPING UP WITH THE JONES du réalisateur Greg Mottola (Superbad, Adventureland, Paul) est un film moyennement divertissant. Il est préférable d’attendre la sortie vidéo.