SYNCHRONICITY est un film a petit budget du réalisateur Jacob Gentry, qui nous avait donné The Signal, gagnant du prix du public durant de Fantasia en 2007.
Jim Beale (Chad Mcknight) est un physicien. Il a construit une machine à voyager dans le temps, mais manque les fonds nécessaires pour ouvrir la seconde extrémité du wormhole. L'investisseur principal, Klaus Meisner (Michael Ironside) veut s'assurer que la machine fonctionne avant d'investir d'avantage sur le projet. Lors du test de l'ouverture de l'extrémité, Jim est ébloui par une lumière et perd connaissance. Le test s'avère tout de même être un succès lorsqu'il voit qu'une plante est apparue dans le laboratoire. La même soirée, il fait la rencontre d'Abby (Brianne Davis) et en tombe amoureux. De plus, depuis l'ouverture du wormhole, il souffre d'horribles maux de tête.
La relation entre Jim et Abby qui prend une énorme place dans la trame narrative n'est pas réaliste, à moins de croire au coup de foudre. Le problème n'est pas dans le jeu des acteurs, mais au niveau du scénario. La seule raison qu'a Jim de retourner dans le temps est qu'Abby l'a utilisé et il a le coeur brisé. Selon moi, la relation s'apparente plus à un one-night stand qu'autre chose, c'est pourquoi je m'en suis très peu soucié.
Par contre, la cinématographie est impeccable nous rappelant parfois Blade Runner ou Dark City. La trame sonore composée par Benjamin Lovett est également belle et s'agence bien avec le style neo-noir du film.
Les fans de longs-métrages portant sur le voyage dans le temps seront également comblés par le paradoxe que le voyage dans le temps crée.
Malgré quelques petits défauts, SYNCHRONICITY est un must-see pour les fans de ce genre.
Jim Beale (Chad Mcknight) est un physicien. Il a construit une machine à voyager dans le temps, mais manque les fonds nécessaires pour ouvrir la seconde extrémité du wormhole. L'investisseur principal, Klaus Meisner (Michael Ironside) veut s'assurer que la machine fonctionne avant d'investir d'avantage sur le projet. Lors du test de l'ouverture de l'extrémité, Jim est ébloui par une lumière et perd connaissance. Le test s'avère tout de même être un succès lorsqu'il voit qu'une plante est apparue dans le laboratoire. La même soirée, il fait la rencontre d'Abby (Brianne Davis) et en tombe amoureux. De plus, depuis l'ouverture du wormhole, il souffre d'horribles maux de tête.
La relation entre Jim et Abby qui prend une énorme place dans la trame narrative n'est pas réaliste, à moins de croire au coup de foudre. Le problème n'est pas dans le jeu des acteurs, mais au niveau du scénario. La seule raison qu'a Jim de retourner dans le temps est qu'Abby l'a utilisé et il a le coeur brisé. Selon moi, la relation s'apparente plus à un one-night stand qu'autre chose, c'est pourquoi je m'en suis très peu soucié.
Par contre, la cinématographie est impeccable nous rappelant parfois Blade Runner ou Dark City. La trame sonore composée par Benjamin Lovett est également belle et s'agence bien avec le style neo-noir du film.
Les fans de longs-métrages portant sur le voyage dans le temps seront également comblés par le paradoxe que le voyage dans le temps crée.
Malgré quelques petits défauts, SYNCHRONICITY est un must-see pour les fans de ce genre.