Ce n'est pas la première fois qu'un film portant sur l'amnésie sort au cinéma. On peut, par exemple, penser à l'excellent thriller Memento de Christopher Nolan ou bien la comédie romantique 50 First Dates. BEFORE I GO TO SLEEP traite de ce sujet. Il est une adaptation cinématographique du premier roman de S.J. Watson qui est un bestseller international.
Nicole Kidman interprète Christine, une femme de 40 ans souffrant d'amnésie antérograde (incapacité à se remémorer les événements suivant le début de l’amnésie). Chaque matin, elle se réveille dans la confusion la plus totale : elle ne se souvient plus des événements de la journée précédente, où elle est et qui est l'homme couché à ses côtés. L'homme est Ben (Colin Firth). Il lui rappelle quotidiennement qu'ils sont mariés depuis plus de 14 ans. Lorsqu'il part travailler, le téléphone sonne. Il s'agit de Dr Nasch (Mark Strong), neuropsychologue qui lui rappelle de regarder une vidéo enregistrée la veille où elle décrit ce qu'elle a appris durant la journée. Il désire l'aider à retrouver sa mémoire et surtout découvrir qui est le responsable de l'attaque vicieuse qui l'a laissée pour morte, il y a plus de 10 ans. Chose bizarre, il ne veut pas qu'elle dévoile à son mari leurs sessions, ni l'existence des vidéos. Lorsque les souvenirs de Christine resurgissent au compte-gouttes, elle commence à douter de l'honnêteté des deux hommes dans sa vie.
Les trois acteurs principaux offrent une bonne performance. Nicole Kidman, qui apparaît dans toutes les scènes est particulièrement convaincante dans le rôle d'une femme vulnérable qui ne sait pas réellement ce qui se passe ni à qui elle doit faire confiance.
Avec la quantité minimale de personnages, on peut facilement avoir une bonne idée du responsable de l'attaque: est-ce le mari de Christine, son psy ou une tierce personne? Sans rien vous dévoiler, le « punch » est plus ou moins surprenant et c’est à ce moment-là que le film devient plus intéressant. Par contre, lorsque le dénouement de l'intrigue principale arrive, on reste sur notre faim. D'une durée de seulement 90 minutes, le long-métrage manque de suspense (sauf pour la révélation et les scènes qui suivent). Il est dans un sens beaucoup plus un mélodrame qu'un véritable thriller. N'ayant aucune idée de quel genre de film il veut en faire exactement, le réalisateur décide même d'y mettre un moment inutile qui fait sursauter: un camion qui apparaît subitement en klaxonnant.
BEFORE I GO TO SLEEP n'est malheureusement pas mémorable. Je peux facilement oublier l'avoir vu avant d'aller dormir ce soir ;) Il n’est donc pas un film que je recommande de voir au cinéma, attendez de le louer en DVD. Selon moi, sans la présence des trois acteurs connus, ce long-métrage aurait très bien pu être un téléfilm.
Nicole Kidman interprète Christine, une femme de 40 ans souffrant d'amnésie antérograde (incapacité à se remémorer les événements suivant le début de l’amnésie). Chaque matin, elle se réveille dans la confusion la plus totale : elle ne se souvient plus des événements de la journée précédente, où elle est et qui est l'homme couché à ses côtés. L'homme est Ben (Colin Firth). Il lui rappelle quotidiennement qu'ils sont mariés depuis plus de 14 ans. Lorsqu'il part travailler, le téléphone sonne. Il s'agit de Dr Nasch (Mark Strong), neuropsychologue qui lui rappelle de regarder une vidéo enregistrée la veille où elle décrit ce qu'elle a appris durant la journée. Il désire l'aider à retrouver sa mémoire et surtout découvrir qui est le responsable de l'attaque vicieuse qui l'a laissée pour morte, il y a plus de 10 ans. Chose bizarre, il ne veut pas qu'elle dévoile à son mari leurs sessions, ni l'existence des vidéos. Lorsque les souvenirs de Christine resurgissent au compte-gouttes, elle commence à douter de l'honnêteté des deux hommes dans sa vie.
Les trois acteurs principaux offrent une bonne performance. Nicole Kidman, qui apparaît dans toutes les scènes est particulièrement convaincante dans le rôle d'une femme vulnérable qui ne sait pas réellement ce qui se passe ni à qui elle doit faire confiance.
Avec la quantité minimale de personnages, on peut facilement avoir une bonne idée du responsable de l'attaque: est-ce le mari de Christine, son psy ou une tierce personne? Sans rien vous dévoiler, le « punch » est plus ou moins surprenant et c’est à ce moment-là que le film devient plus intéressant. Par contre, lorsque le dénouement de l'intrigue principale arrive, on reste sur notre faim. D'une durée de seulement 90 minutes, le long-métrage manque de suspense (sauf pour la révélation et les scènes qui suivent). Il est dans un sens beaucoup plus un mélodrame qu'un véritable thriller. N'ayant aucune idée de quel genre de film il veut en faire exactement, le réalisateur décide même d'y mettre un moment inutile qui fait sursauter: un camion qui apparaît subitement en klaxonnant.
BEFORE I GO TO SLEEP n'est malheureusement pas mémorable. Je peux facilement oublier l'avoir vu avant d'aller dormir ce soir ;) Il n’est donc pas un film que je recommande de voir au cinéma, attendez de le louer en DVD. Selon moi, sans la présence des trois acteurs connus, ce long-métrage aurait très bien pu être un téléfilm.
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