☆☆☆☆ LOVING VINCENT / La Passion de Van Gogh offre un hommage majestueux à Vincent Van Gogh. Le film d’animation est une œuvre d’art. Composé de plus de 60000 toiles peintes à l’huile (dans le même style que celui de Van Gogh), le long métrage est le fruit d’un travail colossal par 125 artistes différents. Que vous soyez artistes ou non, le film est un « must see », car vous ne verrez rien de similaire au cinéma cette année.
En 1891, un an après que Vincent Van Gogh se soit donné la mort, le facteur Joseph Roulin [voix de Chris O’Dowd] demande à son fils Armand [Douglas Booth] de livrer une lettre à Theo, frère cadet de Vincent Van Gogh. Les deux frères qui avaient une bonne relation personnelle et professionnelle (Theo était l’agent de Vincent) faisaient la correspondance et cette lettre serait la dernière que Vincent aurait écrite à son frère avant de mourir. Armand se montre récalcitrant au départ, car il a une mauvaise opinion de Vincent, mais décide de faire plaisir à son père. Il apprend vite que Theo est également décédé. Ne sachant pas à qui donner la lettre, Armand se rend à Auvers-sur-Oise interroger les dernières personnes à avoir vu Vincent Van Gogh vivant. De fil en aiguille, Armand se rend compte que les circonstances entourant le suicide de Vincent seraient nébuleuses. L’artiste se serait-il réellement suicidé? Au moyen de plusieurs séquences de flash-back dessinés à la main au crayon noir, on dresse le portrait d’un homme mélancolique au grand talent.
L’œuvre cinématographique incorpore plusieurs peintures de Vincent Van Gogh dans les scènes. Ces « easter egg » raviront les connaisseurs de l’artiste. L’apparence physique des personnages est basée sur les véritables toiles du peintre tandis que leurs visages ont l’apparence de l’acteur/ actrice qui prête sa voix. Lorsqu’on les rencontre pour la première fois, ils ont la même pose qu’on a vu dans les portraits de Van Gogh. Si vous manquez quelques-unes des références, ne vous en faites pas, elles sont révélées dans le générique final du film. Outre l’aspect visuel, on peut faire confiance à Clint Mansell qui infuse un air de mélancolie aux scènes par sa trame sonore.
LOVING VINCENT est présentement à l’affiche.
L’œuvre cinématographique incorpore plusieurs peintures de Vincent Van Gogh dans les scènes. Ces « easter egg » raviront les connaisseurs de l’artiste. L’apparence physique des personnages est basée sur les véritables toiles du peintre tandis que leurs visages ont l’apparence de l’acteur/ actrice qui prête sa voix. Lorsqu’on les rencontre pour la première fois, ils ont la même pose qu’on a vu dans les portraits de Van Gogh. Si vous manquez quelques-unes des références, ne vous en faites pas, elles sont révélées dans le générique final du film. Outre l’aspect visuel, on peut faire confiance à Clint Mansell qui infuse un air de mélancolie aux scènes par sa trame sonore.
LOVING VINCENT est présentement à l’affiche.