⭐⭐⭐⭐Le réalisateur de Prey, Dan Trachtenberg fait une incursion dans le cinéma d’animation avec PREDATOR: KILLER OF KILLERS.
Le film est une anthologie de trois différentes œuvres qui ont lieu à différentes époques de l’histoire sur Terre. La première, The Shield se passe en 847 et raconte l’histoire de Ursa qui veut se venger de la mort de son père, décédé aux mains de Zoran. La seconde, The Sword qui se passe au Japon en 1629 raconte l’histoire de deux frères qui ont un problème à régler lorsqu’un Predator fait son apparition. Et la dernière, The Bullet raconte l’histoire de John J. Torres, un pilote durant la seconde guerre mondiale. En plus de ces 3 histoires, il y a autre chose que je ne spoilerais pas ici.
Sorti en 2022 sur Disney+, Prey était un excellent film de la série Predator si bien que son réalisateur Dan Trachtenberg a déjà un autre film de la franchise en banque. Predator: Badlands devrait sortir au cinéma cette année. Avec PREDATOR: KILLER OF KILLERS, il amène la franchise à un autre niveau en développant le monde des Prédateurs. En plus de voir leur planète, on est témoins du fonctionnement de leurs armes et vaisseaux dans des scènes d’actions qui rivalisent les meilleurs films de la franchise. C’est excitant, ultra violent et magnifiquement animé. Les acteurs qui prêtent leur voix aux personnages font un travail exemplaire. Gardez l’œil ouvert pour une apparition caméo.
Mon segment favori est le premier, car Ursa est une femme complètement badass avec ses deux boucliers qui servent également d’armes. Le combat avec le Predator est très excitant. Il y a une scène qui est un genre de plan-séquence où Ursa terrasse plusieurs hommes de Zoran à elle toute seule qui montre à quel point elle est impitoyable. Le seconde histoire m’a plu également. Voir cette histoire sans dialogues permet de se concentrer davantage sur l’action. Il n’y a que la 3e histoire que j’ai trouvé assez ordinaire.
PREDATOR: KILLER OF KILLERS arrive sur Disney+ le 6 juin.
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